L'enfant-démon (fanfic sur...BB oO)

Bon mettons les choses au clair... Je connais presque que dalle à BB, mais je n'avais rien à faire pendant que mon frère finisse de faire ce qu'il avait à faire pour qu'on puisse regarder un film, alors j'ai commencé à écrire une histoire sur BB au pif. Je ne sais pas encore ce qui va se passer, même si j'ai quelques vagues idées, et donc sa longueur, mais bon... De toute façon, comme peu de personnes connaissent et apprécient BB, ça risque pas qu'il y ait des masses de personnes qui lisent.XD

Enfin bref, ceux qui connaissent bien BB vous étonnez pas si cette fic' vous paraît très bizarre...

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L’enfant-démon


D’aussi loin que je me souvienne, j’ai toujours eu ce don.

Cette capacité unique à voir le nom et l’espérance de vie de toutes les personnes qui m’entourent.

Très jeune, je me suis rendu compte de ma différence, de cette facette unique de mon être.

Mais malgré tout…

Je n’étais qu’un enfant…

Et j’ignorais que j’étais le seul à voir ces données…

En quelques sortes, l’on peut dire que j’ai été affecté par le syndrome du bourdon.

Mais cela n’a pas réellement d’importance et pour revenir à ce don, il m’a valu le surnom charmant d’enfant-démon.

Certes, à présent cette appellation me laisse de marbre, mais il en allait autrement lors de mon enfance.

Ce nom était tel une marque au fer rouge pour le jeune enfant que j’étais.

Repoussé, insulté et détesté par ses semblables.

Et la cause de ce rejet…

La peur…

D’une certaine manière, cette marque a eu une influence sur ce que je suis devenu…

Mes envies…

Mes actions…

Mon but !

Et peut-être…

Ma déchéance…


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Les deux bras sur le rebord de la table, il regardait le poisson rouge tourner en rond, prisonnier dans ce cercle, dans son bocal.

La différence entre lui et ce poisson était minime, ils étaient tous les deux prisonniers.

Prisonniers de leurs propres limites.

Figés dans le temps.

Un léger toussotement tira l’enfant de sa léthargie, il tourna légèrement la tête et observa la gouvernante endormie.

Affalée sur le fauteuil, la tête renversée en arrière, elle ronflait de temps à autre, une mèche de cheveux blancs sournoisement infiltrés dans sa bouche.

Ingrid Walden.

Espérance de vie : 5 ans, 3 mois, 19 jours, 2679 secondes.

Désintéressé, il reporta son attention sur le poisson.

Il était le seul être à pouvoir prétendre être son ami, même si malgré tout, il était très loin de l’être.

Même s’il était incapable de voir sa durée de vivre, il sentait étrangement que celle-ci était éphémère.

L’aurore arriva sans qu’il ne bougea de place, sans que le poisson ne cesse sa course, sans que celle qui devait veiller sur lui ne se réveille.

Une journée monotone…

Bientôt, elle rentrerait…

Comme toujours accompagné d’un homme…

A nouveau tiré de sa rêverie, il entendit des rires venir de l’étage inférieur.

Ils étaient saouls.

Dans un étrange mélange de chute et de rires, il entendit les deux adultes monter avec une certaine difficulté les escaliers.

La porte s’ouvrit et un nouveau bruit de chute se fit entendre, mais l’enfant ne prit même pas la peine de se retourner.

Il avait déjà compris qui était tombé.

-Ah tu es là toi ! déclara sa mère d’un ton sec. Va faire un tour dehors et tâche de ne pas revenir avant deux heures !

Sans répondre, il sauta du tabouret où il s’était tenu et fit face à celle qui l’avait mise au monde.

Maquillée exagérément, destinée à masquer son âge, à peine vêtue, elle arborait un air autoritaire et dédaigneux.

Le seul visage que sa mère lui offrait.

De longs cheveux roux légèrement bouclés et soyeux, des yeux émeraudes froids, une peau laiteuse laissant entrevoir ses veines, du vernis rouge sang sur les ongles, des tenues voilant à peine ce qui était nécessaire voilà à quoi ressemblait sa mère.

Quant à son père, il ne l’avait jamais connu.

Il ne faisait aucun doute qu’il était l’une des nombreuses conquêtes d’une nuit de sa mère.

Baissant son regard, il observa le nouvel amant de sa mère.

La tête à moitié dégarni, un fort embonpoint, des yeux qui reflétaient son état d’ivresse, il babillait des mots incompréhensible en essayant d‘attraper quelque chose qui aurait pu l‘aider à se relever.

Un être méprisable.

Arthur Kaam.

Espérance de vie : 30 ans, 1 mois, 15 jours, 1697 secondes.

-Dépêche-toi ! ordonna-t-elle en le frappant sur la tête.

Sans émettre une nouvelle fois le moindre son, l’enfant sorti de la pièce et descendit les escaliers en bois.

Il traversa le salon et le couloir qui, comme toutes les pièces, ne dégageaient aucune chaleur, aucune vie.

Néanmoins, il y faisait plus froid que d’habitude.

Il arriva devant la porte d’entrée, l‘origine du froid.

Elle était ouverte.

Un oubli régulier.

Se mettant sur la pointe des pieds, il attrapa la poignée et la tira vers lui.

Une fois la porte fermée, il se retourna.

L’air était froid et il sentit la chair de poule couvrir ses avant-bras.

L’envie d’un manteau épais lui traversa l’esprit, mais il la mit rapidement de côté.

Il allait devoir faire face à d‘autres évènements.

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Bon et maintenant... Let's start the movie.>-<

Oh Yakumo ! j'ai adoré, adoré !
C'est terriblement envoûtant, ça plonge immédiatement dans l'ambiance...
Bravo, bravo !
(j'ai cru qu'il allait bouffer le poisson rouge, moi ^^')

Gogo Yubari a écrit:

(j'ai cru qu'il allait bouffer le poisson rouge, moi ^^')

Ah toi aussi ? xD
Bah perso j'ai bien aime meme si j'y connais pas grand chose a BB.
Suite please ! =)

lol Pauvre poisson.^^' Désolée, mais je suis contre la violence envers les animaux. :taper:

Je veux bien que BB soit un psychopathe, mais de là à manger un pauvre poisson rouge ? Ca lui servirait à quoi ? A devenir plus intelligent.>-<

musamuse, moi non plus je connais pas grand chose sur BB, on est donc sur un pied d'égalité.XD

Petite précision, un moment il y aura plein de blabla, mais comme il y a pas assez de couleurs et que c'est plus ou moins toujours des personnes différentes qui parlent, j'ai mis les couleurs au pif. Vous attardez donc pas à essayer de deviner à savoir qui parle.

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Une catin !

C’est le mot le plus à définir celle qui me faisait office de mère.

Je n’ai jamais réellement compris d’où lui venait un tel appétit sexuel.

L’argent ne nous manquait pas.

Néanmoins, les seules choses que j’ai obtenu durant cette période de ma vie était de la nourriture, une gouvernante et de temps à autres des vêtements.

Ainsi qu’un poisson rouge, faible substitut pour masquer ma solitude.

Et chercher à me rendre plus docile sans doute…

Malgré mon immobilité et mon mutisme, ce n’était jamais assez pour ma mère.

A cette époque, je ne me rendais pas compte à quel point cette vie était différente de la plupart des enfants de mon âge.

Cette froideur, ce comportement, ces mots.

Il me semblaient naturels.

Je ne voyais pas d’autres alternatives.

Ce qui n’empêchait pas qu’ils étaient blessants.

J’avais beau masquer mes émotions et me fermer au monde, cela ne m’empêchait pas de les entendre.

Et dans ma condition d’enfant, ils passaient outre ces barrières.

Atteignant directement mon âme.


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Il marchait dans une rue mal éclairée, des maisons entassées des deux côtés de la rue.

Il passait à côté de petites échoppes ou de modestes cafés de temps à autre, mais aucun établissement réellement digne de ce nom.

Il y avait peu de touristes et les habitants du quartier le connaissaient.

Ou pour être exact, ils étaient les créateurs des différentes rumeurs qui couraient à son sujet, et accessoirement celles sur sa mère.

Ils ne le connaissaient qu’à travers des histoires toutes plus folles les unes que les autres.

De temps en temps, il entendait une bribe de ces histoires farfelues, mais la plupart du temps, il préférait les garder pour eux en sa présence…

Ce qui ne les empêchait pour autant de répandre d’autres perfidies.

-Le voilà ! C’est l’enfant de la sorcière !

-Ce morveux est bizarre…

-Il se balade dans les rues toutes les nuits pendant des heures.

-C’est de la mauvaise graine ! C’est moi qui vous le dis !

-Il doit préparer un mauvais coup !

-Ouais, il se passe des choses bizarres ces derniers temps !

-Alice qui s’est fait cambriolé, le petit Bryan qui est à l’hôpital et Monsieur Guigouz qui s’est suicidé…

-Ils portent malheur !

-Comment de tels êtres peuvent-ils vivre ici ?

-Ils devraient retourner là où est leur place !

-J’ai entendu dire par Antoine Delcourt qu’il avait surpris le môme en train de manger les entrailles d’un chat agonisant.

-Quelle horreur !

-Moi un jour, je l’ai surpris couvert de sang et un cadavre humain à ses côtés.

-Oh mon dieu !

-Ouais et moi je l’ai vu en compagnie des suppôts de Satan une nuit de pleine lune.

-C’est le fils du diable.

-Il est possédé !

-Pourquoi personne n’appelle un exorciste ?

-Vous êtes folle ? Vous voulez que nous soyons tous tués ?

L’enfant trébucha, faisant sursauter les adultes qui étaient actuellement dans les environs.

Ils firent tous un bond en avant et observèrent leur bouc émissaire se relever avec inquiétude.

Celui-ci épousseta son pantalon avant de continuer son parcours habituel.

Il lui arrivait de temps à autre de prendre des chemins différents, mais généralement il suivait un parcours identique tous les soirs.

Autour de lui, les ragots avaient repris.

Ils n’étaient pas aussi enflammés que d’habitude.

La prestation de ce soir n’avait rien à voir avec celle qu’il avait à faire les autres jours.

Ils devaient commencer à être à court d’idées...

Après plusieurs minutes de marche, il arriva à une aire de jeux abandonnés depuis longtemps.

Non, en vérité depuis qu’il avait choisi cet endroit comme aire de relaxation.

Au moins, il était tranquille ici.

Mais ne plus pouvoir observer les autres enfants de son âge lui manquait.

L’observation avait toujours été sa seule distraction.

Et observer les actions et réactions des personnes l’avaient toujours passionné.

La nature humaine pouvait se montrer vraiment intéressante.

Il avait déjà essayé d’agir de même envers les adultes, mais contrairement aux enfants qui s’amusaient normalement tout en s’amusant, les adultes, eux, se taisaient et une ambiance désagréable s’installait systématiquement.

C’était d’ailleurs eux qui avaient forcé leurs enfants à cesser leurs jeux ici.

Cette place lui appartenait à présent…

Enfin…

Pas tout à fait…

-Yo, Lucifer ! Ca baigne ?

Un garçon élancé sortit des ténèbres de la nuit et s’approcha sans crainte de l’enfant-démon, ce dernier se balançant doucement sur la balançoire.

L’enfant ne prit même pas la peine de se retourner.

Le nouveau venu ne cherchait qu’à le provoquer, comme toutes les nuits.

De quatre ans son aîné, il se prenait pour un dur à cuir et cherchait à imposer sa loi sur le quartier.

Ce qui ne lui réussissait guère.

Avec sa faible constitution, ses cheveux brun raides et ses yeux cachés par de grosses lunettes digne d’un intello, il n’était jamais pris au sérieux.

Et sa tenue vestimentaire n’était guère mieux…

Fils de parents divorcés, vivant chez son père alcoolique, il essayait de se faire reconnaître par tous, tout en suivant le chemin de son père.

A chacune de leur rencontre, il puait l’alcool.

Il était pathétique.

Il sentit plus qu’il ne vit l’alcoolique se planter devant lui.

-Alors que me vaut ta visite sur mon territoire ?

L’enfant ne prit même pas la peine de répondre.

Tout se déroulerait selon le même schéma.

-Eh tu vas parler oui !

Sans autre forme de procès, le faux intello envoya un direct du droit à son cadet.

Ce dernier tomba de la balançoire et se cogna la tête sur le sol dur et froid.

Toujours à frapper sans raison.

Cela devait lui donner un sentiment de supériorité.

D’importance.

Il était ridicule.

Goûtant au sang qui s’infiltrait dans sa bouche, l’enfant releva la tête et dévisagea son opposant.

Bill Swolf.

Espérance de vie : 13 jours, 598 secondes.

Surpris, il dévisagea l’enfant à lunettes plus intensément, laissant tomber son masque pour afficher un regard interrogateur.

Hier encore il avait des dizaines d’années à vivre…

C’était la deuxième fois qu’il voyait un tel phénomène.

Un phénomène qu’il n’arrivait tout simplement pas à expliquer.

L’idée que la cause fut des maladies lui avait traversé l’esprit. Néanmoins, si cela avait été le cas, il aurait eu davantage affaire à ce genre de situations.

La raison se trouvait autre part…

Mais il n’avait pas la moindre idée d’où elle pouvait provenir.

-Alors, tu vas parler maintenant ?

Ailleurs, l’enfant se releva et passa un bras sur le coin de sa bouche, effaçant momentanément le mince filet de sang qui s‘en échappait.

Ce qu’il ressentait en ce moment était différent de la dernière fois.

Une étrange envie prenait peu à peu de l’ampleur dans son être.

Un désir malsain.

Le désir de voir la mort de ce garçon de ses propres yeux.

Il voulait assister à ce spectacle.

De toute son âme.

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Bon, comme vous avez pu le constater les adultes racontent n'importe quoi.>-< C'est qu'on appelle la peur collective. :roll:

Ouais ! la suite !

Je suis fan, ah j'en démords pas !!!

Pour quelqu'un qui dit peu en savoir sur BB, ça le fait, Yakumo !

J'aime comme l'histoire chemine... vers le point de non-retour...

Citation :

(j'ai cru qu'il allait bouffer le poisson rouge, moi ^^')

Ptdr !!

Tiens, j'y avais pas pensée.... C'est bon, un poisson rouge ? /_/

XD

Revenons-en à l'histoire :: Kyaaaah !!!!!! J'adore ton style d'écriture !!!!!
Par contre, la situation ne me plait pas trop, c'est triste, le pooovre p'tit BB...
Et.... J'ai dût mal à voir comment une durée de vie peut changer.... Il serait pas rentré dans la mafia, le gamin ? :D
Yay !! J'veux quand même la suite !!! Tu la poste today ? ^-^

''Ouais et moi je l’ai vu en compagnie des suppôts de Satan une nuit de pleine lune.''

ca fait tres rumeurs du moyen age ^^
J'aime toujours et je me demande ce qui fait reduire l'esperance de vie. Un meurtrier? Beyond?
Petite question: Pourquoi tu retourne a la ligne presque a chaque phrase? Perso ca me derange pas du tout mais c'est pas courant donc je demande par curiosite =)

Gogo--> lol Pourtant je connais vraiment presque rien sur lui.^^' J'ai même pas fini de lire le roman.XD (même si je le "connais" depuis plus longtemps que ça) Je fais juste ma propre interprétation du perso, en quelque sorte.

Shôko--> Dans la mafia ? oO XD XD XD Faut arrêter de prendre le cas de Mello comme une généralité.XD Et pour ton autre question, non ce sera pas pour aujourd'hui et sans doute pas non plus pour les deux jours à venir. Je suis partie pendant la journée (aujourd'hui aussi) et j'ai pas envie d'écrire le soir, j'ai d'autres choses à faire... (comment ça un simple non aurait suffit >-< ?)

musamuse--> lol Faut pas croire, mais ce genre de choses est plus normal qu'on le pense... Il y a régulièrement des situations où l'on parle d'exorcisme, des démons, de Satan, des personnes possédées, etc. C'est juste qu'on en parle pas aussi souvent. La religion reste encore une forte base pour expliquer les choses qu'on craint ou qu'on ne comprend pas...
Pour l'autre question, en fait, j'ai commencé à écrire comme ça quand j'ai participé une histoire en ligne (on écrivait chacun une partie). Comme j'ai vu que les autres faisaient comme ça, je l'ai fait aussi... Ce n'est pas un type d'écriture que j'utilise tellement. Je l'utilise principalement pour des histoires courtes. Je trouve que ça donne une atmosphère différente à l'histoire. Ca la rend plus lente...plus...réfléchie... Si on veut.^^' Enfin bref, je trouve que ça donne un effet différent que l'écriture normal (qui est mon habituel en plus >-<). Les phrases seraient alors plus longues en plus.XD

Et pour cette histoire de vie diminuée. Dieu, je vous pensais plus vive d'esprit que ça.>-< (pas le prendre mal) Enfin, c'est vrai que vous êtes pas dans ma tête non plus... Mais bon... Comme je vais pas expliquer le pourquoi de la chose, je vais le mettre en spoil. Comme ça, celui qui veut vraiment savoir le saura...

Spoiler:

Ah mea culpa, je n'ai pas vu cette fic auparavant !

J'ai vraiment hâte de savoir la suite ! Pour quelqu'un qui dit ne pas connaître grand chose à BB, tu lui inventes un passé tout à fait plausible. J'aime bien la dimension psychologique que tu apportes à ton histoire : le "don" particulier, la mère peu présente, les rumeurs, etc. Et le fait de mettre chaque phrase à la ligne, ça crée effectivement une certaine tension !
Tu écris vraiment très très bien !
C'est très prometteur ! :manga3:

J'attends la suite avec une grande impatience, Yakumo ^^

Bon, en ce qui concerne cette suite-ci, on peut dire qu'elle est un peu baclée... J'avais déjà l'ébauche en tête, mais mettre une idée par écrit n'est pas toujours facile et je n'ai pas réussir à approfondir cette partie comme je le voulais... A la base, elle devait survenir bien plus tard, mais comme je n'ai pas vu l'utilité de continuer la rencontre avec Bill ou son retour chez lui alors j'ai fait un bon dans le futur. Peut-être que je développerais cette partie dans une autre partie de la suite, des souvenirs peuvent toujours revenirs le hanter, mais bon... Rien n'est certain... Oh et excuse de censuré, j'écoutais des musiques joyeuses et mon frère et son pote me faisaient chier pendant que j'écrivais cette partie, j'ai pas su me mettre dans le bain ! :P Et deuxième excuse bidon, un rêve est flou, donc pas de descriptions.>-<

Anyway, enjoy.^^

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Certains m’ont traité de sadiques, de psychopathes et cela est vrai pour leur propre vision du monde.

Moi-même, en regardant objectivement ce que je suis devenu, j’admets en avoir le profil.

Néanmoins, entre la vérité et les apparences, une grande différence existe.

Je ne vais pas prétendre être un saint pour autant.

Ce serait un mensonge odieux envers moi-même.

S’il faut absolument me comparer à un être de la religion catholique, alors l’on pourrait me comparer à un ange déchu.

Mais même cette image ne reflète pas la vérité.

Il n'y a aucun moyen pour l'expliquer.

Pour en revenir à ma déchéance, j’ai moi-même cru durant des années que ma rencontre avec L en étant la cause.

Alors qu’en vérité, elle avait commencé depuis ma naissance, depuis mon arrivée en ce monde.

Malgré tout, ma vie n’était pas aussi froide avant ce jour maudit pour l’enfant que j’étais et béni pour l’être que je suis devenu.

En toute franchise, ce jour peut être considéré comme le véritable déclencheur de ma décadence.

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Entre rêve et cauchemar, couché dans un lit aussi froid que la mort, l’enfant se retournait sans cesse, cherchant un échappatoire inexistant.


Curieux, mais silencieux, le nouveau venu s’approchait des enfants riant et s’amusant.

Il regarda des enfants se balancer et finalement sauter de la balançoire, d'autres se couvrir les mains de sable, d'autres encore se courir après en criant.

Un monde étrange…

Une facette du monde qu’il méconnaissait…

Silencieusement, il s’approcha de la balançoire fraîchement abandonné et posa une main dessus.

Elle était encore tiède, emprisonnant la chaleur de l’enfant qui l’avait quitté.

Une sensation étrange…

Lentement, il s’assit sur elle.

La tiédeur se répandit inexplicablement à travers son corps.

Il passa son regard lentement sur les personnes et objets environnantes.

C’était donc cela ce que les adultes appelaient une aitre de jeux…

La joie…

Ses pieds pendaient dans le vide, une sensation désagréable.

Toutefois, il ne chercha pas à se mouvoir.

Immobile, il observait ses semblables.

Cherchant à les comprendre.

Comprendre ce qu’était la joie…

Les rires…

Cette tiédeur…

Une voix le tira de sa méditation silencieuse.

Il tourna la tête vers l’homme qui s’était approché.

-Eh bien mon bonhomme, tu ne joues pas avec tes petits camarades ? demanda-t-il dans une étrange grimace, un sourire selon sa mère, avec une intonnation qu‘il n‘arrivait pas à définir.

L’enfant, ne comprenant pas la question de cet intrus, ne répondit pas tout de suite.

-…Vous…mourir…demain… dit-il avec difficulté.

L’étrange grimace de l’homme disparut pour arborer un visage confus.

Quelques secondes s’écoulèrent dans une atmosphère tendue.

L’homme finit par reprendre sa grimace, mais elle semblait forcée cette fois-ci.

-Que… Qu’est-ce que tu as dit mon petit ?

-…Mourir…demain…

L’homme allait répliquer lorsqu’une fois arriva, l’appelant.

-Chéri, tu viens ? Les enfants sont fatigués et nous devons nous préparer pour le mariage.

-J’arrive mon amour, j’arrive !

Il lança un dernier regard confus et outré à l’enfant avant de rejoindre la femme.

La scène changea.

Trois jours s’était écoulés.

Comme les jours précédents, il se rendait à l’aire de jeux, prenant la rue qui longeait le cimetière.

Il s’arrêta brusquement.

La rue était étrangement bondée, les chaussées couvertes de voiture.

Il ne comprenait pas la véritable nature du cimetière, endroit généralement abandonné, et sa curiosité face à un tel rassemblement le poussa à entrer dans cet endroit recouvert de pierres espacées.

Il fit à peine quelques pas qu’il vit la femme de l’autre jour, tremblante et sanglotante, entourée par deux enfants perdus.

Les mains sur son visage, elle ne remarqua pas tout de suite la présence du nouvel arrivant.

-Ah mon petit… Tu devrais rentrer chez toi… conseilla un vieil homme vêtu d’une robe.

La femme baissa enfin les mains et remarqua la présence de l’enfant.

Son visage brusquement déformé par la haine, la douleur, la rage et le désespoir, elle s’approcha de l’enfant qui se tenait immobile, non loin d’elle.

-Toi ! TOI ! C’est de ta faute s’il est mort ! TA FAUTE ! Monstre ! MONSTRE !

Toujours immobile, ne comprenant pas la raison de cette haine soudaine, il regarda la femme brisée être retenue par deux autres personnes.

-Calme-toi Anne ! supplia une autre femme.

-C’est lui ! C’EST LUI QUI LA TUE !!!

-Arrête Anne ! Te rends-tu compte de ce que tu dis ? Cet enfant n’est en rien responsable de la mort de Nicolas. répliqua l’un des deux hommes qui la retenait.

-C’EST LUI JE VOUS DIS !!! C’EST LUI QUI A DIT QUE NICOLAS ALLAIT MOURIR !!! C’EST LUI QUI LA TUEEEE !!!!!

Sa voix se brisa, de nouvelles larmes jaillirent de ses yeux et lui firent baissés la tête.

Tout son être semblait avoir abandonné.

-Pourquoi ? POURQUOI ??? Oh mon Dieu, dites-moi POURQUOI ??? Seigneur, si vous existez, pourquoi a-t-il fallu que Vous me l’enleviez ? Pourquoi ? POURQUOI ???

Ne comprenant toujours rien à la situation, mais effrayé et perdu, l’enfant maudit fit un pas en avant.

Une erreur fatale.

La femme se dégagea brusquement de l’étau de ses amis et se jeta sur lui.

La tête de l'enfant percuta violemment la pierre qui se trouvait derrière lui.

Des cris et des pleurs fusèrent de partout.

-Bon sang mais arrêtez-là ! Vous voyiez bien qu’elle a complètement perdu la tête !

-Anne !

-Anne, arrête !

-MAMAN !!!

-Anne !!!

Les adultes essayaient vainement d’éloigner la femme de l’enfant, mais rien ne semblait pouvoir l’arrêter.

-JE VAIS TE TUER, SALE MONSTRE ! JE VAIS TE TUUUEEEEEEER !!!

L’enfant, à moitié assommé par une douleur insoutenable, était tétanisé, happé par les yeux rouges de son agresseur, des yeux rouge sang.

La mort…


L’enfant sursauta et tomba sur le sol.

Couvert de sueur, tremblant de froid et de peur, il regarda autour de lui.

La chambre était plongée dans l’obscurité.

Un rêve…

Un cauchemar…

Des souvenirs…

Toujours tremblant de peur et réprimant une envie de sangloter, il se releva et se remit sous sa maigre couverture.

Son ventre était noué, par l‘appréhension et par la peur.

Depuis la mort de son oppresseur, il avait le droit à de tels spectacles toutes les nuits.

Il serra la mâchoire et ferma les yeux le plus forts possibles.

Il en avait assez !

Cette appréhension qui ne voulait pas le quitter…

Soudain il se souvint.

C’était cette nuit…

Elle allait mourir…

Bah pour du bacle c'est pas mal du tout ^^''
Je suppose que c'est sa mere qui va mourir.
Vivement la suite ! =)

Pauvre B.B.
Avec une enfance pareille, ça ne m'étonne pas qu'il perde la boule au final !
Pauvre petite chose... j'ai presque envie de le plaindre...

Pas mal trouvé l'histoire avec l'enterrement...
C'est vrai que pour B.B. qui ne connaît rien d'autre, ça paraît naturel d'annoncer la mort de quelqu'un...

Mais-heu !! T'écris des truc tout triste, toi !

*A les larmes aux yeux*

Pauvre gosse ! La scène du cimetière m'a carrément faite chialer !

Pooooooooovre p'tit Beyond !

'Pis, heu.... Ah, oui, c'est sa maman qui va mourir ?
Quand il est passé directement à "elle", juste après le cauchemar, je pensais qu'il parlait de la femme qui l'avait agressé.....
Oh, il va se retrouver orphelin ? *_*
Ah, oui, c'est obligatoire pour la suite....-_-"

Ah tu coupes en plein moment de suspens ! *veut la suite*
^__^
C'est de plus en plus intéressant, et si j'ai bien compris, on va bientôt voir son entrée à la Wammy's House ?
Terrible, le rêve ! Pauvre p'tit BB, je parie qu'il a été aussi effaré que le mec quand il a vu qu'il allait mourir le lendemain.
Enfin, je suis d'accord : pour une suite "baclée", elle est sacrément réussie ;)

Shôko--> lol Pour écrire des trucs drôles sur B.B, il faudrait pratiquement parodié ou alors prendre tout au second degré... De l'humour noir en somme...

Chialer ? *relis le passage* Nous n'avons pas le même degré de sensibilité.>-<

Bon... J'ai écris la suite entre ma révision de bio et de math de la journée. Elle est un peu longue, mais je pouvais pas couper en plein dedans.^^' Bon cette suite est aussi joyeuse que les précédentes, mais je tiens à préciser que certains pourraient mal prendre cette suite, dans le sens où ça pourrait choquer. Selon moi il y a peu de chance, mais comme j'ai un degré différent pour ce genre de chose... Enfin bref... Vous êtes prévenus...

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Je savais que ma génitrice allait mourir.

Je le savais depuis mon plus jeune âge.

Mais malgré tout, sa mort m’a ébranlé.

Même si elle m’a sans cesse repoussé et maltraité, elle n’en restait pas moins ma mère.

De plus, elle m’avait permis de vivre jusque-là.

Ce n’était certes pas un geste de bonté, elle n’avait tout simplement pas les trippes pour m’ôter la vie, mais l’enfant que j’étais n’y est pas resté insensible.

Et elle était la seule personne je  "connaissais "…

Néanmoins, si l’opportunité d’empêcher sa mort se présente, je ne changerais rien.

Sa mort était nécessaire.

La seule et la première qui m’ait réellement affecté…

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Un cri ni humain ni animal déchira l’air, clouant l’enfant en mouvement sur place.

Ce cri…

Cet étrange cri ne pouvait provenir que de sa mère.

Traversé par divers et étranges émotions, il reprit lentement sa marche dans le couloir, une main longeant les murs.

La bâtisse était sombre et froide, ce qui n’avait rien d’inhabituel.

Mais cette nuit, cette froideur et ces ténèbres étaient différentes.

Malsaine…

Mauvaise.

Lourde.

Puante.

Folle !

D’autres cris déchirants fendirent l’air, l’immobilisant à nouveau.

Des échos de son rêve commencèrent à prendre de l’ampleur dans sa tête.


"JE VAIS TE TUER !!!!!"


La gorge nouée par une angoisse sans nom, l’enfant accéléra brusquement, essayant de marcher le plus rapidement possible tout en restant discret.


"Pourquoi ? POURQUOI ???"


Les cris se firent plus proches et il aperçut enfin une faible lumière, émaner d’une porte entre-ouverte.

Les paroles, moins étouffées à présent, lui parvinrent enfin.

-Pitié Jack ! Je t’en supplie ! Nooon !!!

Un bruit qu’il n’arrivait pas à définir et une chute furent les seules réponses qui lui parvinrent.


"MONSTRE"


Indécis et empli de peur, l’enfant fit les derniers pas qui l’éloignait de la porte.

Tremblant, il observa la scène depuis la porte entre-ouverte.

Des vêtements lacérés et un hachoir gisait non loin de sa mère.

La seule chose l’empêchant de s’affaler sur le sol était ses cheveux, retenus fermement par son agresseur.

Un pied avait été sectionné de manière irrégulière.


"C'EST DE SA FAUTE"


Tremblante, elle versait des larmes sans chercher à se débattre.

Elle semblait avoir abandonné.

Son corps blanc était taché par un liquide rouge et visqueux.

Son propre sang !


"C'EST LUI"


Elle était couverte de blessures aux jambes et aux bras, son tronc et sa tête intouchée jusqu’à présent.

A une exception près.

Quelque chose reflétant la faible lumière de la lampe de chevet.

Chassant les voix de sa tête, l’enfant se concentrer et faillit bondir en arrière.

Une fourchette !

Pour une raison ou une autre, l’agresseur avait réussi à planter une fourchette en travers de sa bouche, l‘empêchant de parler sous risque d‘atroces douleurs.

Une muselière !

Aucune autre comparaison ne lui vint à l’esprit.


"MONSTRE !!!"


-Aaah, tu te montres enfin plus raisonnable… déclara l’homme en caressant la joue de sa victime avec douceur, couteau de cuisine en main. Tu aurais dû le faire plus tôt. Je ne vais pas avoir d’autre choix que de te punir.

Sa mère eut un soubresaut de révolte rapidement remplacé par un spasme de douleur lorsque l’arme transperça sa chair au niveau du plexus solaire.

-Ne t’inquiète pas, ma belle, l’arme n’est pas complètement enfoncée. Je ne veux pas prendre le risque de te perdre aussi rapidement.

Dégoûté et terrorisé, l’enfant voulut s’enfuir, mais sa peur, ces images et ces voix le paralysaient.


"Seigneur, dites-moi pourquoi ? POURQUOI ???"


Il ne pouvait s’empêcher de superposer son rêve à cette scène.


"JE VAIS TE TUER ! JE VAIS TE TUER !!!"


-Tu connais l’histoire de Jack l’éventreur ? demanda l'agresseur avec tendresse, faisant glisser son arme vers le bas, déchirant la chair au passage. Je me suis toujours demandé ce qui le poussait à éventrer ses victimes---

Il se tut et jeta sa victime violemment sur le sol.

Il regarda son bras droit qu’elle venait de mordre, dans une vaine tentative de contre-attaque.

-Pourquoi rechercher inutilement la souffrance ? demanda-t-il.

Il semblait triste.

Non !

Il était déçu.

Déçu de ne pas pouvoir s’amuser plus longtemps.

Son appréhension grandit en même temps que les voix de son rêve.

Un cauchemar !

Tout cela ne pouvait être qu’un cauchemar !

Il chercha vainement à enfin trouver le moyen de bouger.

Il devait faire quelque chose !

Chasser ses voix !

Chasser ces images !

Echapper à ce cauchemar !

Il devait agir !

Mais il en était incapable.

Obligé malgré lui à assister à ce spectacle.


"ANNE ! ARRETE !!!"


L’agresseur s’approcha avec calme de sa mère qui rampait sur le sol, cherchant à le fuir.

Il s’assit sans autre forme de procès sur elle, la maintenant enfin sur place.

Il posa sa main droite, encore propre, sur le visage de sa victime, le pouce sur l’œil.

-Regarde ce que tu m’obliges à faire… dit-il sur ton désolé.

Il exerça une pression de plus en plus forte sur l’œil.

Il le creva.

A l’aide de son seul pouce.


"MAMAAAN !!!"


Elle battit des bras, cherchant à atteindre son adversaire.

Mais ce dernier ne s’en formalisa pas.

Il fendit l’air de son arme, atteignant sévèrement les deux bras blancs de sa victime.

Elle les replia instantanément pour s’accrocher à l’autre bras de son agresseur.

-Tu n’apprends décidément jamais… soupira-t-il en plaçant le fil de la lame sur la gorge de sa victime. Simple conseil d’amis, cesse tes enfantillages…

Elle se tint immobile.

Cette fois, elle avait réellement abandonné.

Ses seules actions étaient des plaintes étouffées.


"JE VAIS TE TUER SALE MONSTRE !!!"


-Ce couteau possède réellement une lame aiguisée. Je suis impressionné par le travail de son créateur. Pas toi ? Il faudrait que je le remercie comme il se doit… dit-il en exerçant une légère pression sur sa gorge.

Il perdit brusquement son sourire.

-Tu ne m’amuses plus…

Il éloigna la lame de sa victime.

-Mais comme je ne suis pas un monstre, je vais te faire connaître un ultime plaisir avant d‘en finir.

La maintenant en place d’une main, il commença à se dévêtir.


"MAIS ARRETEZ-LA ! VOUS VOYEZ BIEN QU'ELLE A COMPLETEMENT PERDU LA TETE !!!???"


Son horreur arrivé à son apogée, l’enfant plissa les yeux de toutes ses forces, les mains sur les oreilles, exerçant une pression de plus en plus forte sur sa tête.

Il n’en pouvait plus !

Il ne pouvait pas !

Il devait les faire taire !

Ces voix !

Ces cris !

Cette souffrance !

Ce sang !

Cette mort !

Sa tête allait exploser !

Il allait devenir fou !

Et il pleurait !

Pleurait !

Pleurait !

Pleurait !

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Enfin fini... Pas trop tôt hein ? Bon, petit mot à part, personnellement je trouve que le côté froid de l'agresseur dédramatise la situation... Non ? Et les échos du rêve aussi... Ca coupe...

Sinon hmm... B.B s'est trouvé un maître psychopathe (mais peut-on l'appeler un psychopathe ?). XD Quoi ? Ca vous fait pas rire ? Bon d'accord, d'accord, je me tais...

Dernier truc à ajouter, j'ai beaucoup d'affection pour l'agresseur, c'est un salaud, mais j'aime bien son côté indifférent et puis vous savez ce qu'on dit, une "mère" apprécie toujours ses "enfants".XD XD XD

Bon, d'accord, d'accord, on n'a pas le même sens de l'humour.^^'

Gasp !

Il fallait l'oser !...

Eh bé, c'est totalement joyeux ! *ouvre la fenêtre et se défenestre*

C'est de là que viendra l'amour des lames chères à B.B. ?

Shôko--> Oui, je suis triste pour la mère de B.B... Mourir comme ça, c'est horrible... Et le pauvre B.B qui assiste à tout... J'ai vraiment de la peine pour eux deux... Mais ayant moi-même écrit ça, ça me détache de la scène... De plus, j'ai eu l'habitude de lire très tôt des livres considérés pour adultes (surtout à cause du vocabulaire qu'autre chose) et avec les jeux vidéos et animes/mangas violents qui existent il m'en faut beaucoup pour être choquée... (question d'habitude) Mais voir ça à la télé, avec de vrais acteurs c'est encore autre chose... Même si là aussi il m'en faut pas mal pour me choquer il en faut moins que pour le reste... Et au vue de mes résultats dans les quizz, faut croire que j'ai un mauvais fond.>-<
http://www.livevideo.com/music/Yakumo Surtout le dernier... (qui est centré) D'accord j'ai un mauvais fond, un peu comme tout le monde, mais bon, c'est exagéré quand même...

Gogo--> Oser ? De quoi ? Le viol ? C'est ça qui t'a choqué au point de vouloir te jeter par la fenêtre ? ^^' Aaaah, alors finalement B.B aime bien les couteaux. J'en étais pas sûr... Pour moi l'image typique d'un psychopathe est toujours un type avec un couteau alors je l'ai utilisé... (l'image)

Shôko & Gogo --> Enfin, heureusement que l'ambiance est pas aussi sombre dans l'autre fic' non ? >-<

Nana--> Merci pour les deux comm'. ^^ Quel courage d'avoir tout lu.XD Bon, j'ai fait ça aussi pour presque toutes les fics ici, je l'admets. :roll:

Je suis pas choquée. Ok c'edst pas réjouissant mais y'avait moyen de faire mille fois plus horrible (simple curiosité: est-ce que tu t'es retenue de faire plus choquant ou pas ?)
J'ai mis du temps a tilter que c'était des phrases du cauchemards le sparoles en italique mais ça le fait.
Vivement la suite ! =D

Oui, je me suis retenue... A la base c'était pire, mais je voulais pas exagérer.^^'

Eh bé ! BB a donc trouvé son prédescesseur... Argh ! Terrible la mort de sa mère, elle souffre vraiment jusqu'au bout.

Chui épatée par ta manière d'écrire Yakumo, j'avais vraiment l'impression de voir la scène devant mes yeux.
Bouh ! Vivement qu'on sache ce que va advenir l'enfant...

Si je peux le refuser ? Eh bien... Oui.>-< Je passe pas mon temps à écrire quand même.XD Et comme on dit, une chose à la fois... Déjà que hier j'étais partie toute la journée... Faut me laisser profiter de mes journées. :P