[Axebreaker] Bibi (Bibistes)

I - Votre personnage :

Nom : Axebreaker
Prénom : Bibi
Surnom : Artsenic, même si c’est plutôt son nom de plume
Jour et Lieu de Naissance : 24 juillet 1989, un jour d’été où sous l’azur du ciel grouillaient les masses populacières de smicards en vacances tandis que les promeneurs solitaires laissaient voguer avec admiration leurs rêveries sur les limbes infinies.
Nationalité : Essénienne
Pourquoi ce clan? Parce que j’en suis le chef incontesté.

II - Descriptions :

Physique : Si l’on devait décrire Bibi, l’on commencerait certainement par évoquer l’air méprisant qu’il arbore lorsque, détendu, il se contente d’être naturel. Ses yeux marrons se fixent sur vous, vous étudiant avec amusement ou désintérêt tandis que ses lèvres d’une pâleur rosée restent immobiles sans daigner vous gratifier d’un sourire. Bien que ses joues rebondies et son double menton tentent insidieusement de lui conférer un air bonhomme, les détails décrits ci-dessus, plus apparents, tuent cet espoir idiot dans l’œuf. Lorsqu’un génocide, un nouveau Final Fantasy ou un album de Kreator parvient à le faire sourire, son visage s’éclaire d’une bienveillance inhabituelle mais très appréciable, et précieuse, car très rare. L’or sombre de sa chevelure se répand en une friche incertaine et laissée à l’abandon qui cependant reste plus que présentable et très douce au toucher, faisant ainsi la fierté de Bibi, qui cherche tant bien que mal à se vanter d’un physique qui sans être totalement ingrat, n’est pas non plus très flatteur, les subtiles touches de beauté disséminées sur son visage étant dissimulées par son acné et ses sempiternelles grimaces.
Sa silhouette quant à elle, est anéantie par l’embonpoint que ses nombreuses heures de lecture et de geekerie, couplées à un consternant manque d’exercice, ont fait naître. Sans être obèse, ni même extrêmement gros, le jeune homme est suffisamment enveloppé pour souffrir de la discrimination tacite que les gens bien portants exercent à l’encontre de leurs cousins ricains les gras du bide. La pâleur de sa peau et les cernes encerclant ses globes oculaires sont autant de témoignages de sa geekerie qu’il porte avec fierté. Relativement grand, et ayant une carrure imposante, on aurait pu le croire taillé pour le Rugby ou le football américain, mais Bibi n’aurait jamais daigné mettre les pieds sur un stade n’étant pas exclusivement composé de pixels, et encore… Autre particularité physique accentuant son caractère hautain : sa démarche. En effet, bien malgré lui, et quoi qu’il fasse, Bibi adopte une démarche pseudo-princière tout juste bonne à le faire passer pour un kéké pseudo-BG qui se la pète. Il aurait préféré, pour une fois, ne pas attirer l’attention sur lui, du moins pas de la sorte, mais rien n’y faisait, il était condamné au ridicule involontaire de sa démarche de fashion. En dépit de ce physique quelque peu disgracieux le jeune homme est doté d’un charisme qui l’auréole de temps à autre d’une prestance à l’origine inconnue, qui vient Dieu / Bibi seul savait où. Le principal intéressé ne se targue pourtant pas de ce charisme, n’étant pas sûr qu’il soit bien réel. Après tout, son égo est si important qu’il aurait très bien pu l’imaginer…


Code bon by Bee


Particularité(s) : Un tatouage sur le bras gauche, un peu en dessous de l’épaule, qui se présente tel quel :

« Etre,
c’est devenir plus. »

Évidemment, la citation est de Nietzsche =)

Caractère : Cynique. C’est le mot qui revient le plus souvent pour caractériser le jeune chef des Bibistes. Prompt à tremper sa plume dans l’acide pour cracher sur la plèbe ou la religion, sûr plus que tout autre chose que la plupart des actions des hommes sont motivées par l’orgueil et l’égoïsme, Bibi pousse le vice jusqu’à cracher sur les faux cyniques qui copient House et les émos qui renient la vie en bloc par facilité, car malgré tout son fiel, il ne considère pas la vie comme absurde, bien au contraire. La vie est ce qu’il a de plus cher et les moments de malheur intense sont pour lui aussi aptes à créer du bonheur que ceux, joyeux, que tout le monde recherche éperdument. Un homme qui trouve du bonheur au creux du désespoir, voilà ce qu’est, entre autres choses, le patriarche bibiste. Il est également primordial aux yeux du jeune homme de rire. Rire, de la mort, des génocides, de la connerie, de tout. Fuir autant que faire se peut cette maladie extrêmement contagieuse qui consiste à se prendre au sérieux, à vouloir réussir dans la vie, à se targuer d’avoir vécu, d’avoir de l’expérience, des responsabilités, une Laguna, d’être un adulte quoi. Bref, refuser le fichtre de menu maxi best of beaufitude et mort intellectuelle que tant de nos congénères commandent et avalent goulument avant de crever sur leur chaise, le bide plein et les mains grasses. Ce refus de courber l’échine face au totalitarisme du modèle de l’adulte responsable s’insère parfaitement dans la geekerie du jeune homme, et dans son caractère, puisque cela témoigne d’un refus d’embrasser la norme, pourtant si puissante et alléchante. Ces tendances rebelles et cyniques ont été alimentées par la philosophie, qui lui a appris à penser par lui-même et à remettre tout en question dans un refus flagrant du dogmatisme. Néanmoins, cela a introduit aussi auprès de Bibi une notion intéressante et très nouvelle pour lui : l’humilité. Effectivement, l’ego démesuré de l’adolescent s’est quelque peu émoussé lorsque son professeur de philo a souligné ses insuffisances logiques ou intellectuelles, lui rappelant ainsi que la plèbe n’était peut-être pas si loin de lui que cela, et que son cynisme devrait peut-être s’appliquer à lui-même, car ne se prend-il pas au sérieux lui aussi sans en avoir l’air ? Sa prétention est son plus grand défaut. C’est elle qui, alors qu’il fait mine de se placer sur un pied d’égalité avec un ami ou une amante, lui susurre qu’il est de toute façon mieux que l’intéressé(e), et peut-être, à son grand dam, que c’est elle qui est à l’origine de sa vision si pessimiste de l’Homme. Une étude « généalogique », pour reprendre le terme de son philosophe préféré, de son système de pensée aurait sûrement révélé au grand jour l’imposture de ses élans philosophiques, miettes qu’il jetait dans l’ombre à son ego.
A côté de ça, le jeune homme est quelqu’un de sensible qui aime tout partager avec ses amis et ses amants. Il méprise beaucoup de monde mais ceux qui gagnent son estime sont assurés d’avoir à leur côté un ami fidèle et toujours prêt à les écouter – ou à s’épancher. Parfois rêveur, voire romantique (au sens premier du terme), Bibi a de temps à autre l’air affecté d’un artiste qui contemple, émerveillé, le ciel s’embraser aux premières lueurs de l’aube, les nuages courir sur l’azur ou bien le vent jouer dans les arbres. Oui, à côté de son cynisme et de ses sarcasmes dort une sensibilité qu’il cache mais qui transparait de temps à autre, auprès de rares élus qui savent être reconnaissants du privilège qu’on leur fait…ou pas. L’alliance de cette sensiblerie et de ce cynisme est assez paradoxale, et pourtant…Le paradoxe enfle encore lorsqu’on sait qu’à côté de l’assurance prétentieuse que lui intiment ses capacités intellectuelles existe une kyrielle de complexes liés à son physique, dont nous avons déjà parlé .Bref, on peut résumer Bibi comme étant cynique, sarcastique, sensible, voire fragile, à l’occasion. Bien sûr, la plupart des gens ne voient que la façade dont il se part, mais le jeune homme étant d’un naturel très franc, il n’est pas très dur de se rendre compte du paradoxe ambulant qu’il représente. Voilà à peu près ce qu’on peut dire du jeune homme, même si bien sûr ces caractéristiques ne sont pas gravées dans la pierre. Le syndrome du « je n’y peux rien, je suis comme ça » a d’ailleurs le don d’agacer au plus haut point le jeune homme, comme beaucoup d’autres choses qu’il serait fastidieux de retranscrire ici…

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Particularité(s) : Aucune, à part son ego.

III - Histoire :

Bibi est le fruit de l’union entre Killy et Hana, ce qui lui a permis dès son plus jeune âge d’évoluer dans un monde superficiel et luxueux qui a sans aucun doute contribué à ses élans égotistes. Sa mère n’étant pas du tout du genre à choyer sa progéniture et son père ayant un travail très prenant, l’enfant s’est très vite retrouvé seul. Etant scolarisé depuis ses deux ans, cela importait peu, puisqu’il était au contact de ses petits camarades tout le jour durant…du moins, c’était ce que son père, plus protecteur que sa femme, se disait, pour se rassurer. Le problème, c’est que très vite, le rejeton Lyder fut exclu des jeux enfantins de ses camarades : sa silhouette disgracieuse, son regard hautain, son expression patibulaire, tout ceci contribuait à le rendre différent, et donc indésirable, aux yeux des cruels bâtards de la plèbe. Qu’à cela ne tienne, Bibi s’isola, et les observa, jusqu’à son entrée en CP. Ces années passées à observer ses camarades devaient plus tard le pousser à observer ses congénères, et à en tirer les conclusions adéquates. Néanmoins, à six ans, il apprit à lire, et il abandonna son travail de reporter animalier pour se plonger dans un nouvel exutoire : la lecture. Très vite, il fut fasciné par ce monde imaginaire et en vint même à se demander, quelques fois, si ce n’était pas dans les ouvrages qu’il tenait dans sa main que se trouvait le vrai monde, et si Essène n’était pas l’endroit où il se divertissait de temps à autre pour se changer les idées. Cependant, dire que l’héritier Axebreaker était solitaire aurait été faux ; il ne s’entendait pas avec les enfants de son âge, certes, mais, allez savoir pourquoi, les adolescents , qui partageait la cour de l’école avec les primaires à cause de restrictions budgétaires, le prirent en affection très vite. C’est avec eux qu’il découvrit une autre de ses passions : les jeux vidéo. C’est sur leur Megadrive flambant neuve que le garçonnet de six ans s’essaya à Sonic et Mortal Kombat, plongeant ainsi encore plus profondément dans son imaginaire. Il finit par obtenir l’accord de ses géniteurs pour avoir une console chez lui et n’eut dès lors, pris entre les livres et les jeux, plus à se soucier d’être ou non accepté par ses camarades, qu’il considérait déjà comme inférieurs, étant, à l’époque déjà, premier de la classe. Ce n’est que vers ses dix ans que Bibi parvint à se lier d’amitié avec de jeunes gens qui comme lui avaient un faible pour les loisirs vidéo-ludiques. Augmentant ainsi sa geekerie et sa compétence « sociabilité », il parvint à survivre au collège, allant même jusqu’à abuser de l’éloquence que les livres lui avaient conféré pour tenir tête aux professeurs et ainsi amuser la galerie : c’était une revanche qu’il prenait sur le rejet dont il avait été victime auparavant. Hélas, il se rendit bien vite compte que la popularité dont il jouissait le rétrogradait au rang d’outil, de clown, et non à celui d’ami ou de camarade. Il se recroquevilla donc un peu plus sur lui-même, tout en sauvegardant les apparences. Il avait compris que les autres étaient aussi égoïstes qu’il avait pu l’être et qu’il avait eu tort de vouloir s’intégrer. Il se plongea de nouveau dans les livres et les jeux vidéo en attendant de trouver des personnes avec qui il pourrait entretenir de vraies relations. Son souhait fut exaucé au lycée, où il se lia d’amitié avec des personnes intelligentes et qui partageait ses centres d’intérêt. Ces relations s’établirent autant IRL qu’IVL et cela ne sembla pas le déranger le moins du monde, même si certaines personnes lui avaient déjà fait part de leur aversion pour les « geeks ». Lui s’en moquait et continua à se cultiver, à mépriser et à converser, s’éloignant de plus en plus de ce qu’il appelait la « plèbe » pour se concentrer sur les gens qui en valaient la peine. Il s’était également mis à écrire, depuis la 4e, et malgré des débuts minables, il s’avéra qu’il avait un certain talent pour manier les mots. C’est ainsi que, le plus naturellement du monde, il crée le clan des Bibistes, vers ses 17 ans, afin de rassembler autour de lui des jeunes gens talentueux et outrecuidants. Parallèlement à cela, le jeune homme avait brillamment réussi ses études en obtenant le baccalauréat avec une mention très bien. Il s’orientait vers des études littéraires sans avoir d’objectif précis quant à son métier, se disant qu’il pouvait étudier ce qui le passionnait puisqu’il devrait sans aucun doute reprendre le poste de son père. Au niveau relationnel, et bien, disons que le jeune homme avait quelques amis proches et qu’il avait tissé des liens assez étroits avec sa tante, Beyond, et son père, Killy, avec qui il conversait plus souvent IVL qu’IRL, les deux mâles Lyder étant résolument geeks. Quant à des relations plus intimes avec des membres du sexe opposé, et bien…Il y en avaient eu, certes, mais Bibi les regardait désormais avec mépris, conscient des erreurs qu’il avait commise et de la niaiserie dont il avait fait preuve. Il attendait désormais celle qui saurait le supporter, sans trop chercher non plus, parce qu’il avait pas que ça à foutre, même si il avait depuis longtemps repéré une jeune fille du nom de Roxxane, de quatre ans sa cadette, que son père avait adopté il y a quelques années de cela. Alea jacta est, comme on dit.

IV- Et vous ?

- Pseudo ou prénom : Bibi, Jordan, Jesus Christ
- Âge : 18
- Comment trouvez-vous le forum ? Sympathique
- Que pensez-vous du design ? Il est sayks
- Des choses à améliorer ? On devrait me rendre hommage plus souvent.


Code bon by Bee

Ah okay j'avais pas du tout compris cette histoire de code O_o
J'ai lu les règles mais ça m'a totalement échappé °___°, vu que j'ai pas compris l'utilité du truc j'ai pas retenu et quand on a parlé de code dans la fiche de présentation j'ai pensé au BBC Code =D

Merci à Roxane donc =D

Chido, faut dire que j'ai corrigé les fautes AVANT qu'il ne poste XD. Je n'ai pas tout relu une 2e fois pour vérifier qu'il n'avait pas oublié de corriger ce que j'avais relevé, mais j'ai bien vu qu'il avait oublié d'ajouter un "e" à "amants"... *sifflote*

Je suis la correctrice officielle maintenant :D ?

Edit : je t'en prie Jordan :D.

C'est bon il y avait trois fautes en tout alors c'est pas la peine d'en faire un plat =D. Et tu es la correctrice officielle depuis longtemps !

Ah on m'avait promis 42 lignes pour le physique et l'intellect, mais c'était si fluide à lire que ça m'a paru beaucoup moins.
En très résumé, je ne suis pas déçue par le post du Bibiste en chef, bien au contraire.

Nombre de lignes respecté, t'as eu du mal pour les codes mais apparemment ça s'est réglé, pour la forme tout est bon.
Pour le fond... Aoutch, le moins qu'on puisse dire c'est que tu vas refiler des complexes aux autres membres de ton clan =D Bien entendu, je reconnais une certaine (énorme) similitude avec ton vrai toi mais, comme tu l'as souligné pour ma fiche, on écrit toujours mieux sur ce qu'on connait.

Tu as même parler des circonstances de la création du clan, donc de ce côté-là c'est ok (j'espère que ce que j'ai mis dans la partie explication sur le sujet est bon). Par contre, seule petite erreur, ton nom de famille n'est pas Lyder, mais Axebreaker, en tant que descendant en ligne directe d'Hana (oui, ce sont les femmes qui donnent leur nom dans la famille, et oui je sais que je ne l'ai pas mis dans le contexte, il va falloir que je règle ça).
Une fois que ce sera modifié, je crois que je n'ai rien à ajouter...

Tu écris bien.

Pour parer à mon ennui presque nocturne, je lis vos fiches (oui, c'est surprenant, ou pas) et ça donne presque envie de s'inscrire mais je vous avoue que là j'ai la flemme. Et quand je vois le niveau... Oo <3
Bref, tout ça pour dire que J'AI TROUVE UNE FAUTE OMFG \O/

Citation :

Bien sûr, la plupart des gens ne voient que la façade dont il se part

Je doute fortement que tu voulais employer le verbe "partir" =) ---> pare.


EDIT BB : merci de ne pas flooder dans la partie RP, Kally et Bibi (valable pour vos messages suivants).