Le premier chapitre de ma première fic. Merci d'avance pour les commentaires.
Tome 1 : Surprise.
C’était un jour comme les autres à Wammy’s House. Le petit déjeuner était servi depuis maintenant 10 minutes mais Tôshiro n’était toujours pas la. Baki commençait à s’inquiéter et décida de monter voir dans sa chambre se qui se passait. Il sortit de la salle à manger, passa par le grand hall oû était affiché les portraits de L, le plus grand des détectives que se monde n’est connu. Venait ensuite le portrait d’M, un être très intelligent mais qui s’était tourné vers la mafia afin d’accomplir son but. Mais le plus grand portrait était sans conteste celui de l’actuel président des Etats-Unis et directeur de l’institut, N. Baki avait un jour fait le serment d’avoir son portrait parmi ceux accrochés dans le hall. Il monta ensuite l’escalier de pierre qui donnait au premier étage, qui était l’étage des chambres. Il ouvrit la porte de celle de son ami d’enfance mais ne le trouva pas à l’intérieur. Il avança vers la fenêtre et regarda dans la cour et c’est là qu’il le vit. Un carnet noir, par terre,sans personne aux alentours. Mais ce qu’il vit ensuite le choqua encore plus. Tôshiro venait d’apparaître en bas, dans la cour et se tenait maintenant très prêt du carnet. L’a t’il vu ? se demanda intérieurement Baki. Oui il l’avait vu car après avoir regardé dans tout les sens le jeune pensionnaire le prit sous son pull et regagna l’intérieur de l’institut. Baki décidé de descendre lui aussi et de parler de ce carnet à son ami dès qu’il se retrouveraient seul à seul. Quelques heures plus tard, entre deux cours, Baki trouva son ami seul au détour d’un couloir et décida d’entamer la conversation. Mais Tôshiro le devança :
- Baki, il faut que je te parle mais pas ici, dans un endroit plus calme. Tu passe dans ma chambre ce soir ?
- Euh… Oui mais tu peux au moins me dire ce qu’il se passe non ?
- Non, je t’expliquerai tout ce soir.
Baki se contenta d’accepter et il se séparèrent jusqu’au soir. Chacun vaqua à ses occupations et le soir venu Baki alla taper à la porte de Tôshiro qui ouvrit de suite.
- Je t’attendais, entre.
- Ok, je peux m’asseoir ?
- On se connaît depuis plus de 10 ans et tu me demandes encore se genre de choses ?
- Bah … ouais, sa fait toujours bizarre de rentrer dans la chambre des autres, j’ai toujours l’impression de ne pas être à ma place.
- Encore ? C’est pas encore passé ton truc ?
- Non malheureusement, mais au faite de quoi tu voulait qu’on parle ?
- A oui c’est vrai. J’ai fait une découverte bizarre dans la cour ce matin.
- Le carnet ?
- T’es au courant ? Comment sa se fait je l’ai dit à personne.
- Je t’ai vu le prendre, mais dit moi c’est pas une Death non ?
- Non t’inquiète je l’aurait pas pris sinon.
Et il sortit le carnet. A première vu le carnet était noir, mais en le regardant de plus près Baki s’aperçut qu’il était violet foncé. Comme le ciel avant que la nuit ne tombe complètement. Il lut sur la couverture deux simple lettres : DN. Il demanda à Tôshiro ce que voulait dire ces innitiales et il lui repondit d’ouvrir le carnet et de lire la première page. Après plusieurs minutes, Baki leva les yeux et annonça d’une voix grave :
- Il faut le donner au directeur.
- Non ! D’abord on le teste parce que si c’est un faux on va etre viré tout les deux.
- Oui t’as pas tord, mais il faut trouver quelque chose qui ne se produit pas souvent ces temps ci pour le confirmer.
- J’y est déjà pensé. Sa te dit une visite du dirlo demain ?
- Ouais pas mal mais faudrait quelque chose de plus grand pour être sur que ce soit bien le carnet et pas une simple coïncidence.
- Bah… pourquoi pas une visite du dirlo avec des petits gâteaux et des félicitations adressées à nous deux pour ce merveilleux trimestre que l’on a fait ?
- Oui parfait. Ta même pas eu la moyenne donc si il te félicite c’est que c’est bien sa. Bon faut écrire demain matin à 9h comme sa si c’est vrai il arrivera à midi et demi et on pourra le voir de la salle à manger, dit Baki.
- Ok, bah à demain alors, il vaut mieux que tu retourne vite dans ta chambre avant qu’on nous grille.
Baki retourna dans sa chambre mais quelque chose ne tournait pas rond. Néanmoins il s’endormit quelque minutes plus tard. Tôshiro quand à lui ne trouvait pas le sommeil. Il savait que son père avait trouver une Death note, Death comme ils l’appelaient lui et Baki, et maintenant lui il trouvait une Dream’s Note, un carnet qui réalisait les rèves de son propriétaire. Mais ce carnet ne peut pas provoquer la mort ni engendrer la découverte d’une Death. Il avait vraiment peur de ce qui pourrait lui arriver si ce carnet était découvert puis comme Baki, il s’endormit. Le lendemain matin, Baki et Tôshiro se retrouvèrent dans le couloir des chambres. Il était bientôt 9h et ils commencèrent à écrire leur « rêve » sur le carnet et finirent par les précisions, jusqu’aux paroles du directeur. Il se séparèrent et attendirent jusqu’à midi. Quand arriva ce moment, il descendirent dans la salle à manger et à 12h36 le directeur débarqua. Il demanda a Baki et Tôshiro de le suivre dans son bureau. Ils montèrent tout les trois au seconde étage, entièrement consacré au bureau du directeur. Le président annonça :
- Je vous félicite tout les deux pour votre trimestre. L’un de vous deux me succèdera.
Baki et Tôshiro se regardèrent mais ne dirent rien, ils laissèrent filer le temps et une fois l’entretien terminé, ils sortirent et regagnèrent la chambre de Tôshiro.
- S-Sa marche…… dit Baki
- Oui, on pourrait l’utiliser non ?
- Non ! On doit le donner au directeur, c’est ce qu’on avait dit, tu t’en souviens ?
- Oui bien sur, désolé mais c’était une idée comme sa.
- Oui bon de toute façon le dirlo doit revenir demain donc on lui donnera tout demain, ok ?
- Ouais, a demain.
Baki regagna sa chambre avec encore une fois la sensation que quelque chose n’allait pas mais une fois de plus il s’endormit profondément avant de pouvoir réfléchir sur la situation. Toshirô de son coté n’arrivait pas à dormir, il lui fallait ce carnet, mais il ne voulait pas perdre Baki. Soudain un vent froid se fit sentir dans la pièce et Toshirô se leva pour se retrouver face à face avec un monstre noir vraiment bizarre. Comme il était tard, Tôshiro se dit qu’il était sûrement entrain de rêver alors il se frotta les yeux, mais le monstre ne partit pas. C’est quand il se mit à parler que le garçon prit conscience de la réalité de la situation.
- Yo !
- Qu… Qui es-tu ?
- Hein ? Ton père ne ta pas parlé de moi ?
- M-Mon père ? tu le connaît ?
- Oui, Yagami Raito, le meilleur humain que j’ai pu connaître.
- Ouai, si tout le monde pouvait penser comme toi. Mais tu ne m’as pas répondu, t’es qui ?
- Moi ? Un shinigami, je m’appelle Ryukku.
- A… C’est de toi que parle la dernière règle alors ?
- Ouais, exact.
- Bon dis moi, ta bien connu mon père non ? Dis moi en plus sur lui
- Si tu veut, ton père était vraiment très intelligent, il a un jour récupérer ma Death note et a voulu créer un monde meilleur, sans criminalité. Mais pour cela il a voulu tuer tout les criminels et certains hommes ne l’ont pas accepté.
- Tu peux pas m’en dire plus ? qui l’a tué par exemple ?
- Non, ton père m’a fait promettre de ne rien dire, mais je te le dirait un jour parce que c’est pas mon style d’être lier aux humains.
Tôshiro voulait par dessus tout connaître l’histoire de son père et il commença à réfléchir. Si il rendait le carnet, il perdait tout espoir de savoir qui était vraiment son père. Par contre si il pouvait trouver un moyen de le garder sans que personne ne le sache…
Un éclair d’ingéniosité jaillit dans sa tête, il allait s’enfuir de l’institut mais comment ? Cette nuit par la fenêtre. Tout allait très vite dans sa tête, il trouvait très vite les solutions, il arrivait à évaluer les meilleures situations. Il allait s’enfuir de cet institut, celui qui l’a vu grandir, lui et ses amis. Mais Baki, fallait t’il lui dire ? non ! il irait tout raconter au dirlo. Tôshiro ouvrit la fenêtre de sa chambre du 1er étage et avec ses drap fit une corde, puis sauta. Il s’enfuit par la grande porte et disparu dans l’ombre, suivit de Ryukku. Pendant ce temps la Baki était allongé dans son lit, sans rien se douter. L’aube se levait et Baki aussi. Il alla voir Tôshiro dans sa chambre pour être sur qu’il allait rendre le carnet. Mais il n’ était plus dans sa chambre, ni lui, ni le carnet.