[Fiction/Texte] Froid

Alors voilà, shame on me OMG
je crois que ça fait même pas 500 mots et au secours je sais plus écrire et ahhh la tehon ><
BREF.
Y'a pas de présentation à faire sinon ? Je vais quand même en faire une, au cas où.

Titre : Froid
Auteur : A-L a.k.a Amy
Rating : G
Warning : maladie psychiatrique implicite
Pairing : Alexandre/Laura (OC/OC)
Compte de mots : 520
A/N : Si quelqu'un a comprit la référence, faites le moi savoir XD
Sinon euh lisez pas ça c'est ridicule omg je vais m'enterrer.

Froid

Je dois avouer que je n'y ai pas vraiment pensé quand je suis rentré pour la première fois dans cet hôpital. Tomber amoureux. Je me rappelle avoir pensé que c'était ridicule de venir ici. Que je n'avais rien à y faire. Mes parents ont toujours voulu aider les gens, mais c'est pas vraiment mon genre. Et maintenant, me voilà, au milieu de la nuit, sa main dans la mienne. Vous pouvez penser ce que vous voulez, honnêtement, ça m'importe peu. Je suppose que mon histoire vous intéresse à présent. Et bien, commençons par ce fameux jour, à l'hopital.

***

Je me rappelle qu'il faisait super chaud. A la suite d'une dispute pas possible avec mes parents, ils avaient décidé de me "remettre sur le droit chemin". Et le droit chemin, visiblement, c'était l'hopital psychiatrique du coin. J'étais plutôt énervé, après l'entraînement de basket, et puis de toute façon, je suis pas vraiment quelqu'un de gentil, alors je suppose que la première fois qu'on m'a amené devant elle, elle a eu peur. Elle avait ses deux mèches devant les yeux, et elle était collée au radiateur.


C'est vrai, je l'avoue, pas très passionnant comme première conversation.

***

Je revenais tous les jours, et elle me parlait. De pourquoi elle était là, de ce qu'elle avait fait la veille, des amis qu'elle avait, avant. Elle n'aimait pas beaucoup parler d'avant, c'était douloureux pour elle. Je comprenais. Je m'attachais de plus en plus à elle, et à sa place, contre le radiateur. Même à ses deux mèches qui lui cachaient le visage.


Elle regardait ses pieds quand elle m'a dit ça. J'avais l'impression de planer.
C'est ce jour là que je l'ai embrassée pour la première fois.

***

Tout allait bien, enfin, je le pensais. J'ai jamais été vraiment fort à comprendre les gens, alors une fille comme elle, c'était sûr qu'un moment où à un autre, j'allais la blesser.


J'ai hôché la tête, mal a l'aise.


Elle s'est mise à pleurer. Je ne savais pas quoi faire. Je savais pourtant tout à fait où elle voulait en venir.
Je suppose que si j'ai dis ça, c'est parce que je ne savais pas quoi faire. Comment lui prouver ? C'est la seule chose que j'ai trouvé.


Elle m'a sourit, et j'ai compris.