Alors c'est des poèmes pour la plupart courts, écrits à des époques différentes, qui n'ont d'autres prétention que d'être agréable à écrire (en espérant qu'ils le soient également à lire! ^^)
Démence et délivrance :
Une larme perla sur sa joue
Lorsque malgré lui il dut mettre en joug
Son arme déstinée à la vie enlevé
Des hommes, comme lui, de la guerre prisonnier
Débutèrent ensuite les navrantes hostilités
Où il se révelat être un cruel meurtrier
Ses travers belliqueux rongeant sa bonté
Il brisa les chaînes l'empêchant de tuer
La bataille finie, il reprit ses esprits
Et se souvaint de son infâme barbarie
Il lançat alors une longue plainte, inhumaine
Lorsqu'il vit ces soldats, tués par sa haine
Plus terrible fut sa honte lorsque contre son gré
Il reçut pour ses actes, médailles et trophés
Il avait aidé sa nation de l'ennemi triompher
Au prix de son âme, à jamais brisé
Incapable d'endurer les terribles remords
Pour avoir semer tant de misère et de mort
Il mit une derniere fois en joug son fusil
Puis retrouva la paix lorsque enfin il partit
L'ange
O désespoir, le jours où je te vis
Fut-ce cet instant, le plus heureux de ma vie
Car tel un marin, par une sirene envouté
Je fus, dès cet instant, ton esclave à jamais
Qu'étais-je pour toi, être si parfait
Un valet, près à exaucer tous tes souhaits?
Mon coeur et mon âme était, à toi, dévoué
Prisonnier de chaînes, que je ne pouvais briser
O pardonne moi, d'avoir ton îre provoqué
En osant te dévoiler, mes sentiments secrets
J'étais aveuglé par ton intense lumière
Etais-tu un ange, perdu en enfer?
Sadisme
J'éprouvais une folle ardeur
A lui arracher le coeur
En revanche, je ne puis traduire
Le sentiment dont j'ai pus jouir
Lorsque mon couteau finnement aiguisé
Lui ôtat ses yeux ensanglantés
Pour ensuite proprement lui trancher
Son visage entierement décharné
A ma joyeuse tâche
Je travaillais sans relâche
En pensant au magnifique festin
Qui, grâce au funeste destin
De cet être indolent
Serait pour sûr succulen