Histoires farfelues du soir !

Il était une fois , Dans une petite chaumière au beau milieu de la France ( dans un bled perdu ) , un jeune homme qui avait organisé un grrrrand festin  pour sa promotion. Celui-ci n'était autre que Killy , qui venait de devenir prof d'histoire. Il avait invité ses trois meilleurs amis : Youri , Blanche neige et Inazami. Ils festoyaient tous autour de rutabagas aux Maroilles et parlaient  bruyamment autour de la table ( Même Blanche-Neige , elle qui est si discrète d'habitude , avait pris une bière au beurre de trop )
Killy s'exclamait devant Youri « T'sais , moi je m'y connais en canard en plastique , j'suis c'genre de mec qui sais te répérer LE canard à des kilomètres à la ronde ! » Pendant que Qu'Inazami Brayait « De toute façon personne ne m'aime. Même ma mère m'a dit qu'elle avait essayer de me jeter par la fenêtre plusieurs fois mais qu'elle s'arrêtait au dernier moment car elle n'avait pas les sous pour payer un enterrement. En plus , maintenant, quand j'essaye de me suicider et que je rate mon coup , mon psychologue me dit de réessayer avec plus d'énergie , et pourtant , c'est l'échec à chaque fois. Ma vie est un échec. » Blanche-Neige n'en pouvant plus , lui mis une grosse claque énergique et dit « NON MAIS TAIS TOI UN PEU , JE COMPRENDS TA MERE TU SAIS ».Après avoir fait cela elle se mit à faire le ménage en chantant.
Quand Soudain , alors que Youri était en train de dire à Killy « J'aime écouter du Franky Vincent tout en voyageant à bord du Tardis , ça me détend » , On entendit frapper à la porte . Inazami lâcha un « Et voilà , on est dérangé. De toute façon il y a toujours quelque chose qui gâche la soirée quand je suis là. Peut-être que je suis Maudis » Killy lui mis une baffe avant de regarder par le Judas qui perturbais cette soirée si agréable. C'est là que l'impossible se réalisa , L'ennemi Juré de Killy , ce bon vieux Sarkozy , était devant la porte avec toute sa bande de malfrat composé du nain Atchoum , du Gourou Seyadesho et de leur molosse Puto.
Killy regarda ses amis et leurs demanda « Est-ce que j'ouvre ou pas , c'est l'autre con qui est là ! » Youri fit mine de ne pas entendre , Blanche-Neige continua de chanter tout en aidant les animaux des bois à faire la vaisselle comme si de rien était ... Seul Inazami répondit « Qu'il entre , de toute façon cette soirée est nulle » Killy , suivant les conseils de son cher et tendre ami ouvrit la porte. Sarkozy regarda Killy dans les yeux et lui dit « C'est toi l'espion qui a livré mes secrets hein ?! AVOUES C EST TOI ! » Pluto surenchéri a ces propos avec un « Ouaf Ouaf» tonitruant  et avant que quiconque aie pu bouger , Sarkozy claqua des doigts  et son gourou seyadesho se jeta violemment sur Killy et l'étrangla jusqu'à la mort et s'écria à la fin de son meurtre  « JE SUIS LE CHEF D UNE BRIGADE INTERS IDERAAAAAAAAAAAAAAAAALE » ce à quoi le nain répondit « aaaah....aaaAAAAH... ATCHOUUUUM ».
Youri , complètement dévasté par la mort de son ami lança Blanche-Neige sur Seyadesho pour qu'elle lui règle son compte ( en effet , Blanche-Neige est ceinture noire de Judo ) Mais alors qu'elle empoignait le col de ce Gourou qui réclamait du riz soufflé en pleurant , un petit garçon sortit de nulle part surgit et demanda à Blanche-Neige « tu pourrais me dessiner un mouton » Celle-ci , interloquée , lâcha le gourou (qui s'enfuit en courant) et lui demanda son nom « Je suis le petit-Prince , dessine moi un mouton » cette demande énerva le nain « NON MAIS TU VAS LA FERMER AVEC TON MOUTaaa....aaaAAAA....ATCHOUUUUM , ON ETAIT AU BEAU MILIEU D UN REGLEMENT DE COMPTE Laaa....aaAAAA....ATCHOUUUUM» Blanche-Neige perdit elle aussi son sang froid et brisa la nuque du nain d'un coup sec en marmonnant « ça c'est pour toutes ces années ou j'ai du faire l'esclave , avec tes 6 petits copains ». Sarkozy , on voyant tout ça , se barra lachement à son tour en criant « CARLITA , SAUVE MOIII » Pluto , dans un coin , ne savait plus quoi , faire ( il était tout seul maintenant ) alors il mangea le cadavre de Killy car il trouvait ça vachement appétissant . Inazami, qui n'était pas intrevenu pendant les 'combats' était enfaîte en train de se suicider et , pour la première fois de sa vie , il réussit à faire quelque chose correctement. Pour rendre hommage à Izanami , Youri laissa le cadavre de celui-ci pendre dans la cuisine et il marqua sur son frond au feutre noir « Cet homme a réussi quelque chose , et ça , c'est bien ».
Quelques jours après cet incident , Blanche-Neige épousa Youri , ils adoptèrent le petit-Prince qu'ils rebaptisèrent Philippe et vécurent heureux dans cette petite chaumière avec le cadavre d'Izanami pourrissant dans la cuisine

The End

« Hourraaa, hourraaa, Robotnic est moort, Robotnic est mooort ! »

Les regards se tournent vers la bestiole bleue qui déambule dans les rues. L’après-midi vient de débuter, mais à priori l’apéro n’est pas près de s’arrêter pour le hérisson. Sonic de son prénom zig-zag dans la rue, s’excusant auprès d’un poteau ou d’une poubelle, au gré de ses rencontres douloureuses. « BLANG ». Un garçon tout de vert vêtu vient de s’éclater au sol devant Sonic. Visiblement, il n’y a pas que les hérissons qui se prennent les poteaux.

« Je m’appelle… Euh. Mais qu’est-ce que je fais là déjà ? »

Sonic explose de rire parce qu’il est déjà bien attaqué par l’alcool et que, quand même, un mec amnésique qui s’écrase devant soi, c’est fichtrement drôle. SI TOUT A FAIT.

« Mais enfin Peter, puisqu’on te dit d’arrêter de voler, ton gps est foutu et t’es pas capable de te souvenir de ton nom.
- Peter comme Peter Pan ? C’est moi ? Je suis… Eh mince, tu redis mon nom monsieur s’il te plait ? »

L’homme crache par terre. « Alleluia, ma vie n’est autre que chimère. »
Sonic rit encore plus fort, se tient le ventre, perd l’équilibre et tombe par terre, écrasant au passage la queue d’un chien qui trainait là.

« Ouaf, ouaf !
- Tais-toi Roudolfe, mange ta biscotte ! »

Le chien s’endort instantanément, quel personnage inutile. C’est à ce moment que débarque René ! René Descartes, illustre illuminé, fou furieux de son état.

« UN CHIEN. UN CHIEN UN CHIEN UN CHIEN. DORS PETIT CHIEN, CA NE FERA PAS MAL. HAHAHA DORS DORS. »

Les yeux fous, Descartes s’approche de Roudolfe.

« Hey ho tu dégages le taré ! J’vais appeler Batman il va t’en mettre une direct.
- On m’a appelé ? »

Mais qui voilà ? BATMAN en personne ! Batman le magnifique ! Batman l’irrésistible !

« Hé Batman, fous lui une claque à celui-là, il veut s’attaquer à mon Rourou.
- Ah non mi pétit vio, yé souis à la retraite. Et yé n’aime qué les chats. Yé souis… DANSEUR !
- C’EST BONBON ACIDULE ! »

Et Sonic meurt de ses souffrances et de sa crise de rire.

« Ouaf ouaf !
- Mais il va la fermer le chien là ? »

ET VLAN, Batman sort de sa poche l’un de ses gadget formidable et abat Roudolfe, parce qu’on s’entend plus causer. De tristesse, le maître crache son plus beau mollard et s’étrangle avec la laisse du regretter Rourou-doudou. Mais voilà qu’arrive un autre chien, décidément ces bêtes-là veulent pas toutes crever, nan. Il est suivi de près par une furie armée d’un bistouri rouillée et boitant.

« JE VAIS T’ATTRAPER LE CHIEN. JE VAIS TE DISSEQUER. ARRETE DE BOUGER ! »

Ni une ni deux, Descartes se jettent sur la nouvelle venue.

« SALLY ! Ma plus fidèle ennemie ! Ton grand-père Mangele me menait déjà la vie dure, ne veux-tu pas me laisser tranquille ? N’as-tu donc pas fait assez de mal comme ça ?! »

Le chien profite de cette prise à partie pour s’en aller. Il est enfin libre ! Plus personne ne lui court après ! Il traverse la route et PAF le chien.

« ET VOILA ! Il est mort maintenant ! Bien joué môsieur Descartes, on peut pas bosser tranquille. Ce chien était la perle ! J’ai le nez pour ça !
- QUI A PARLE DE NEZ ? Ça va hein ! Alors sous prétexte que j’ai un gros nez, ça permet à tout le monde de me critiquer ! Mais non ! Il y a une âme derrière ce nez, il y a un être qui vit et qui pense et qui respire ! Il y a un être sensible ! Alors oui j’ai été en prison ! Oui j’ai tué des gens ! Mais ça vous donne le droit de me critiquer ? NON. Laissez-moi tranquille ! Cessez de parler de mon nez ! Je n’en peux plus ! Je vais vous… »

Et Rudolf, car c’était lui, tombe au sol, un batarang planté dans la gorge.

« Yé né souis pas un toueur, mais ce rennes parle trop. » Puis se tournant vers Sally « Hola Senorita, veux-tu danser avec moi ?
- Mais tu es un crétin ! ON AURAIT PU LE DISSEQUER !
- Oh, ce n’est pas comme si c’était un chien, déclare Descartes.
- Gardez-vous de cracher contre le vent une fois !
- Une seule fois ? Mais le vent ne tournera pas aussi vite ! Retournez donc manger des frites, vous n’êtes pas fréquentable ! Expliquez-lui Restoroot ! »

Uh ? Et oui ! Notre clown préféré était là depuis le début ! Batman lui lance un regard appréciateur, il a toujours eu un faible pour les clowns.

« Tous ces gens morts devant mes yeux ! Je n’en peux plus de la vie ! Je n’en peux plus ! Mon enfance a été un cauchemar, ma vie n’est qu’une triste horreur ! Je veux en finir, oh je veux en finir. Qu’on me donne une corde !
- Ma qué ? Pour vous pendre ?
- Mais non enfin ! Je suis équilibriste, travailler me redonne de l’espoir !
- Equilibriste vous dites ? » Batman reprend son accent d’origine, après tout, il n’est pas mexicain pour de vrai. « Vous êtes donc très souple ?
- Pourquoi votre regard devient-il lubrique, monsieur Batman ? »
Héhéhé, et c’est à cet instant que Batman, bien qu’à la retraite, trouve une nouvelle utilité à sa bat-cave.

« J’ai un petit endroit à vous faire visiter mon cher. »

Le ton tout excité de Batman n’échappe à personne, et les deux nouveaux amants filent en bat-mobile.

« Dites moi, euh, vous n’avez pas mon GPS ? »

Sally lance un regard à Descartes, et ils détaillent tous les deux Peter Pan.

« Dites-moi mon cher Descartes, un gamin qui ne grandit plus et qui vole peut-il être considérer comme un animal ?
- Je ne sais pas ma chère Sally. Il nous faudrait le disséquer pour en être sûr ! »

Et c’est avec un regard sadique que les deux scientifiques se jettent sur Peter. Je connais un bistouri qui servira une 667ème fois !

« Hey, hey, hey, hey, pourquoi t'as des cheveux longs ?????? »
« Car je les ai laissés pousser »
« donc enfaîte tes cheveux sont ... DES PLANTES ???? »
« .... »
Kiwoo n'en pouvait plus. Une de ses amies proches lui avait demandé d'emmener son petit copain à l'asile le temps d'un été pour qu'il se calme.  La jeune fille avait accepté de suite, après tout, les amies, c'est fait pour ça. Mais là, elle le regrettait amèrement. Ce garçon qui avait presque la trentaine n'arrêtait pas de poser des questions débiles et il ne comprenait jamais rien à rien. Heureusement ils étaient presque arrivés au centre spécial de cas graves de Californie appelé aussi CSDCGDC, Ils leur fallait juste marcher encore quelques minutes.
« Hey, hey, hey, hey, heyyyyyyyyyyyyyyyyy, il est ou sonic ???? Il est pas venu avec nous ? J'VEUX UNE GLAAAACE »
« Tu sais très bien que sonic ne fous jamais rien , il squatte juste mon appart et NON TU N AURAS PAS DE GLACE »
« Haaaa, donc il a sûrement le sida et il ne peut plus bouger, tout s'explique »
« .... »
Au bord de la dépression nerveuse, Kiwoo ne faisait plus attention aux passants et poussa par mégarde un homme crasseux qui passait par là.
« Non mais tu pouvais regarder ou tu mettais les pieds putain de bordel de merde de sa mère le crocodile merdique » beugla celui-ci
« C EST PAS LE MOMENT J AI LES NERFS » dit calmement notre héroïne d'une voix douce et posée avant de lui mettre un coup de poing d'une délicatesse extrême.
L'homme virvolta dans les airs gracieusement avant de retombé mollement sur le sol dans un gros SPLOK. Il se releva et partit en criant «  DE TOUTE FACON , JE SUIS SEUL »
Les nerfs calmés, Kiwoo pu reprendre son chemin vers l'asile avec son compagnon bruyant. Quand tout d'un coup, un homme louche avec une loupe et une pipe sortit de nulle part et commença à interrogé Killy
« How watson, l'indice qui nous mène près de la vérité is very proche !!! , il faut que tu me mènes dans l'endroit interdit in totally secret !!! »
Killy le regarda avec des grands yeux et répondit « wooooooooow, je peux utiliser ta loupe ? Et pourquoi tu parles avec un accent bizarre ? JE DOIS FAIRE PIPIIIIIIIIIIIIIIIII »
« On arrivera jamais à cet asile .... » Kiwoo tira Killy par le bras et marcha plus vite mais le vieux louche les suivait en criant « WAIT , WAIIIT , WATSON , NOUS SOMMES PRES DU BUT , WATSON , WAIT »
Pendant ce temps là sonic n'avait toujours rien fait.
Après quelques minutes de course poursuite , ils semèrent enfin le vieux Scherlok en plein délire pour tomber nez à nez avec un chinois. Mais pas n'importe quel chinois, LE chinois :
« Canard laqué , nem nem , rouleau de printemps »
« Très bien et toi ? Écoute je suis désolée de pas pouvoir parler longtemps mais je dois amené ce fous furieux qui est à coté de moi au  CSDCGDC mais tu m'appelles , ok ?! »
« Sauce sucré , bol de riz ! »
Sonic, seul dans l'appartement, continuait son glandage parfait.
Kiwoo y était presque. Elle voyait l'asile au coin de la rue. Plus que quelques secondes et cet horrible cauchemar sera fini.
Arrivé à destination, elle lança littéralement Killy à l'intérieur du bâtiment.Il était en train de crier « dit t'aimes quoi dans la vie ? T'aimes quoi ? Quoi ? Quoi ? Quoiiiiiiiii ? »
« Moi j'aime les PONEYS et les LICORNES sont mes amies ! Maintenant FOUS MOI LA PAIX »
Quelques kilomètres plus loin Sonic n'avait toujours pas bougé.
soulagée,Kiwoo pu enfin s'éloigner de cet endroit bizarre et prit la route de son appartement en chantonnant "J'aime le licornes et leurs jolies cornes , elles ont un pelage semblable aux nuages , elle sont si gentilles avec leurs amies, même si elles pratiquent la sodomie ♪♫"
Enfin rentrée chez elle, elle remarqua que Sonic n'avait pas bougé depuis son départ
« Alors sonic , qu'est ce que t'as fait depuis mon départ ? »
« Rien. »
« Il me semblait bien .... et pourquoi donc ?»
« Tu peux pas comprendre... Sega , c'est plus fort que toi. »
« .... »
Ainsi s'achève cette histoire comme elle a commencée , sur une jeune fille complètement perturbée.

Il était une fois un jeune adolescent qui aimait draguer tout ce qui bouge. C'est ainsi qu'un jour il s'approcha de Vinou mais ce dernier lui tint à peu près ce langage :

- " Oh, monsieur, que vous me semblez joli, que vous me semblez beau. Si par hasard votre plumage a un rapport tridimensionnel népérien avec votre ramage, vous serez l'hôte de ce morceaux de bois ".

Mais le morceau de bois brandit par Vinou ne sembla guère convaincre l'ado qui déguerpi aussitôt.

- " Mais pourquoi il s'en va ? " s'interrogea Vinou tout en se rhabillant. J'aurais pu au moins lui ... Oh punaise ! Il y a de l'uranium dans l'air !

La centrale nucléaire de Fessenheim venait-elle d'exploser et était-on donc en train d'assister à un nouveau Tchernobyl ? Hé bien que nenni, chers lecteurs, puisqu'il ne s'agissait là que de l'apparition d'une mouche irradiée !

- En voila une bien jolie mouche ! Comment-vais-je bien pouvoir t'appeler... Carine ? Non, ça fait trop cheval ça... Clémentine ? Non je n'aime pas ces fruits. Ah, j'ai trouvé ! Désormais, tu te prénommera Mouchette !

- Nihhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhh !

- Mais qu'est-ce que...

Un individu venait de faire irruption non loin de Vinou et semblait être en train de faire une crise d'épilepsie. Vinou se porta à son secours :

- Mon brave, que vous arrive-t-il donc ? Vous êtes nerveux parce que vous êtes grands et que vous ne pouvez pas admettre en votre for intérieur que les petits, c'est l'avenir du monde ?

- Nihhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhh !

Et l'homme s'en alla.

On ne sut jamais qu'en évoquant les mots de 'for intérieur', l'homme s'était remis à penser que l'esprit commence au moment ou l'esprit s'éprouve comme l'esprit. Et que cela le mettait en transe tel un Mickey Mouse éloigné de sa Minnie de copine ne serait-ce qu'une seule nuit.

D'ailleurs en parlant du loup, ou plutôt, de la souris...

- Hoho !

- Hé bien mon brave, vous allez à la Japan Expo ?

- Hoho ! OUIIIII CAR C'EST LA MAISON DE MICKEYYYYYYYYYYYY, LA MAISON DE MICKEYYYYYYYYYYYYYYYYYYY !

On pardonnera à cet égard le pauvre Mickey puisque contrairement aux apparences, ce n'est pas lui le fou de l'histoire mais bel et bien Vinou ! Héwi m'sieur dame, n'a t-on pas idée de demander à quelqu'un si il va à la Japan Expo, en plein mois de septembre ?! C'est pas la saison ! Ange

Vinou décida toutefois de faire un petit bonhomme de chemin avec le nouvel arrivant.

- Où habitez-vous, au fait ?

- hoho ! Dans la MAISON DE MICKEYYYYYYYYYYYYY, LA MAISON DE MICKEYYYYYYYYYYYYYYY !

"Au moins il est enjoué et véritablement sociable" se dit Vinou en son for intérieur, tout en pensant qu'il ne s'ennuierait sûrement pas avec un si bon compagnon.

- Et où travaillez-vous ?

- Hoho ! Dans la MAISON DE MICKEYYYYYYYYYYY, LA MAISON DE MICKEYYYYYYYYYYYY !

- Oh, fort bien ! Cela doit être passionnant ! Et que pensez-vous de... Oh, mais qui voila ?

Un nouvel individu - décidément ce chemin était bien fréquenté, pourtant il ne s'agissait que d'un petit sentier d'un bois situé dans le XVIè arrondissement de Paris - venait de surgir d'un fourré et, chose rare, il s'agissait d'une femme.

- Que le grand cric me croque, dit elle, si par mégarde l'un de vous est un anglois, qu'il se suicide ou je le passerai à trépas !

- Pardon Madame mais vous devez faire erreur, il n'y a pas l'ombre d'un anglais ici et..

- AHHHH MAIS QUELLE HORREUR ! hurla Jeanne, qui, ni une ni deux, abattit sa hâche sur la tête de la pauvre souris qui accompagnait Vinou depuis le début.

- NOOOOOON hurla ce dernier en prenant dans ses bras Mickey, vous avez commis là une terrible erreur...Il n'était pas anglais mais américain, c'est radicalement différent et prouvé par la racine carré de l'hypoténuse !

- Oups, fit Jeanne. Sorry, mais avouez que son léger accent prêtait quelque peu à confusion ! Et puis de toute façon je ne pouvais pas savoir, de mon temps les anglais était en France et en Angleterre seulement, mais surtout en France et c'est pour ça que...Enfin bref, ça va, vous n'avez rien ?

- ça va, je vous remercie ! Bon, tant pis pour lui...fit Vinou, tout en sortant une cigarette de sa poche. Dites, z'auriez pas du feu par hasard ?

- AHHHHHHHHHHHHHHHHH NOOOOOOOOOON HERETIQUE, PAS CAAAAAAAAAAAAAAAA !

La malheureuse fille, qui apparemment devait traverser quelques problèmes dans sa vie, détala si vite que Vinou ne put la rattraper. Le fait qu'il marchait avec des tongs expliquaient sûrement cela. Toujours est-il qu'il décida de finir sa petite balade comme elle avait commencé : seul. Sur son passage un autre cadavre lui fit bientôt face, ou plutôt celui d'un homme mourrant, qui lui tient ce langage :

- H, I'm Sr Edwrd, nd I'll d sn, vr sn. M I lst fvr pls ?

- Pardon ? Parlez-plus fort, je ne vous entend pas, fit Vinou tout en mettant en place son sonotone. Mais rien n'y fit, le condamné expia avant de finir de se répéter, et de toute façon il parlait trop vite et mal pour qu'on comprenne quoi que ce soit de son vivant, alors ça change rien à la compréhension de cette histoire, merci à vous de ne pas en tenir compte !

- Bon bah si c'est comme ça je m'en vais chez moi et je rentre à ma maison, Nah ! fit Vinou, certes un peu enragé mais qui sembla retrouver le bonheur le temps d'un long instant passer à méditer à ce qu'il allait immédiatement faire en rentrant chez lui : un bon bain qu'il partagerait avec son meilleur poto Norbert, qui lui au moins était fidèle, n'était pas près de crever et qui ne s'enfuirait jamais de chez lui, dut-il le re-ducknapper une fois de plus à son lieu de travail !



Epilogue

L'histoire ne dira jamais que l'ado du début était en quête de seins frais, ni ne révélera jamais le véritable nom de la mouche, qui s'appelait en réalité Georgette, mais l'important de l'histoire, la seule chose que vous, lecteurs, devrez à jamais vous souvenir, c'est que cette histoire est tirée de faits réels ayant déjà existé dans le futur ! A noter que l'intégralité des personnages de cette histoire étaient les enfants de Vinou, oui oui même Mickey vous l'avez bien lu !

Les aventures de Germaine :
Germaine était un organisme unicellulaire voulant à tout pris manger du cerveau . Un bon cerveau bien gras. Alors , Germaine essaya de trouver le meilleur cerveau du monde ( donc le plus rempli ). Tout d'abord , sa première victime fut un cheval , Henry le cheval , Qui parlait avec un homme assez bizarre qui avait l'air stressé
« Non mais vas y mec, comment t'abandonnes tes gosses le soir là , tu me fais pitié  là , ça me rappelle cette chanson que j'adore qui dit « POUUUUUUUUUURRRRITUUUUUUUUUUREEE , HAINE HAINE HAINE , COLEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEERE ,  JE TE HAIS SALE bip bip bip bip bip DE bip HAAAAAAARG » Tu vois ? Ça raconte un peu ta vie nan? » disait le cheval
« Mais voyons henry , tu comprends pas ? Pour une fois que je dors pas avec eux chez ce foutu barbier ça fait du  bien ! Et puis je croyais qu'on était pote! »
« Ouais , c'est vrai  c'est à cause de ma fuite de l'abattoir , parfois je suis un peu agressif .... Mais je voulais surtout te faire entendre ma belle vois enfaite ... rho dit j'ai mal à la tête d'un coup ... Olalala , et me voilà qui saigne du nez ... Apporte moi un mouchouaAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAH , HO MON DIEU EFNOEUINFUNEFOUENF beurp » Sur ces dernières paroles , Henry mouru dans d'atroces souffrances  dans des spasmes affreux. En effet Germaine avait mangé goulûment son cerveau. Germaine pourtant n'était pas repu , ce cerveau était assez vide et était ravagé par le blackmetal. Alors Germaine se téléporta miraculeusement dans le cerveau de l irresponsable qui était devant elle , car oui , c'était une amazing cellule de la mort.
L'homme en question regardait le cheval mort en se demandant si il devait l'amener chez IKEA pour qu'ils le cuisinent en boulettes mais il eu trop peur d'avoir la police sur le dos et s'en alla tranquillement de la demeure de son ancien ami le cheval pour se diriger vers la maison de son autre amie , Althéa.
Celle-ci l’accueilli chez elle les bras ouverts .
Quand l'homme entra dans le salon de sont hôte , il vit qu'il n'était pas seul.Un garçon était assit dans le canapé rose en forme de coeur ( juste à coté du jaune en forme de soleil ) et se plaignait de sa solitude éternelle
Althéa présenta les deux hommes
« Alors Marcel , je te présente l'invité alias Norber , Norber voici Marcel , qui est un grand irresponsable , un petit rouleau de pq pour fêter ça ? »
« ET COMMENT ! » s'exclamèrent les hommes en cœur.
Mais d'un coup , Norber commenca à crier
« AAAAAAAH , mais c'est quoi qui me touche le dos ??! »
« AAAAAAAH , Pitié pas une tarentule , PAS UNE TARENTULE  » surenchéri Marcel
« AAAAAAAH , HO LA CHOSE , TU VAS TE CALMER OUI , CE SONT DES INVITES , NE LEUR FAIT PAS PEUR ET NE ME FAIT PAS CA  A MOI AUSSI , JE SUIS TON MAITRE ! »
Une main verte sortit du dos d'Althéa pour s'encourir dans un panier rose flash avec des cœurs se  trouvant dans la cuisine.
« Ouais , c'est ça , va dans ton panier et ne nous embête plus ! Fichu expérience ratée! »
Atlhéa parti donc sur ces belles paroles dans la salle de bain pour servir du papier toilettes à ses invités. Pendant ce temps là, Marcel discutait avec Norber de tout et n'importe quoi
« (..) Et enfaite , c'était aussi mon gosse !!! Tu vois le truc ? C'était mon huitième enfant mais c'était pas encore fini !! la prostitué que j'avais vu à Las Vegas était ELLE AUSSI enceinte !!! et ... ho ma tête ... hein ? Je saigne du nez .. HO NON JE VAIS FINIR COMME HENRAAAAAJAAAEkjnZEOJNOZNGOREZNGOZURNbeurp. »
Marcel n'eu même pas le temps de finir sa phrase , et oui , Germaine avait encore fait des siennes. Mais elle ne se transporta pas vers Norber car , même depuis le reste immangeable de cerveau du cadavre tout frais de Marcel , elle voyait que Norber était complètement attardé.
D'ailleurs ce bon vieux Norber était complètement perdu. Son nouvel ami venait de mourir. Sa  santé mentale  étant très instable , s'en fut trop pour lui. Il se jeta dans le vide et s'écrasa dans les bacs à fleurs de la voisine.
Althéa arriva dans le salon en disant « Et voilààà , du papier toilette tout fraiiiiis , vous en voulez encore ? » juste au moment ou la tête de Norber toucha les tulipes de la voisine d’en face .
Choquée , la jeune femme lacha son papier toilette. Germaine en profita et POUF elle se téléporta dans le cerveau d'Althéa.
Et là , Germaine fut heureuse , c'était ENFIN un cerveau convenable , presque pas détraqué ! Au lieu d'attendre pour le manger comme elle l'avait fait pour les deux autres gignoles elle s'empressa de l'engloutir. Althéa n'eut même pas le temps de se rendre compte qu'elle mourrait .
C'est ainsi que comblée , Germaine eut atteint son but et elle pu s'impliquer à fond dans son autre passion , la schizophrénie , ainsi , elle erra de cerveau en cerveau , déclenchant la schizophrénie partout ou elle passait , avec amour, jusqu'à la fin des temps. <3

Fin

« Un ptit euro msieur dame s’il vous plait, un ptit euro, j’ai faim, j’ai le sida du foie et de l’arthrite dans l’oreille, un fils cul de jatte et un chien pouilleux. »

Par terre, une femme fait la manche. Elle porte un long manteau et une capuche lui cachant la moitié du visage. Comment ça, on s’en fout ?

« Aaah ma brave dame, je lui prêterais bien mon tibia à votre fils, mais seulement si vous venez boire un verre avec moi. Il est très bien mon tibia, super robuste, je l’ai eu d’occasion mais qu’est-ce qu’il en jette, y en a pas deux des comme le mien. In-cas-sable. J’ai une très forte attirance pour les gens sales et poilus, surtout les femmes de votre condition et de votre âge.»

Haru Airurando, Don Juan en mal d’amour était passé par là.

« Z’auriez pas une pièce plutôt ? »

Notre dragueur invétéré fait la moue. Elle ne doit pas parler le même langage.


« Non mais je vous paye un verre, vous tombez folle amoureuse et voilà, qu’est-ce que vous ne comprenez pas au juste ? »

La femme lève les yeux.

« AHA ! Je vous ai bien eu ! Je suis Christine Boutin !
- Bah, je préfère Marine Le Pen mais je ferais avec.
- AHA ! C’ETAIT UN DEGUISEMENT ! Je suis Pierre-Alexandre et je vais intégrer un réseau LGBT parce que je suis un peu un fou dans ma tête. C’est Halloween aujourd’hui, vous ne vous tenez jamais au courant des informations ?
- Bah, les hommes ça me va aussi. On y va ? »

Pierre-Alexandre se lève et s’en va, excédé par le comportement de cet homme bon à enfermer... Mais se prend en pleine face un mouton tout aussi énervé qui le piétine sans ménagement. Adieu Christine-Alexandre, on ne te regrettera pas.

« C’EST PAS PARCE QUE JE SUIS UN MOUTON QU’IL FAUT ME RIDICULISER DIANTRE, J’AI UNE FEMME ET DES ENFANTS MOI ET JE TRAVAILLE TOUS LES JOURS POUR UN MODESTE REVENU !
- MAIS QU’AS-TU FAIS A PIERRE-ALEXANDRE ?
- Oh ? Oh. Autant pour moi. Mauvais endroit mauvais moment comme on dit, hein. Un jour, moi aussi j’ai eu une expérience de ce genre. Je me promenais comme ça tranquillement quand TOUT A COUP, je me fis avaler par un mixer géant. Et il tournait, il tournait, il tournait. J’ai failli en mourir. On ne se méfie jamais assez des mixers. Méfie-toi du mixer petit. »

On entend soudain une musique à faire saigner les oreilles de la plus fervente admiratrice de Justin Bieber. C’est dire si c’est pas insupportable.

« ET ON FAIT TOURNER LES SERVIETTEUH ! COMME DES PETITES GIROUETTEUH !
- Mais qui est ce malade ? »

Un vieil homme à barbe et cheveux blancs  du nom de Sébastien, Patrick Sébastien, s’approche en chantant comme un fou. Il est flanqué d’un homme-calculatrice et d’un autre à l’air idiot, bien moins enchantés que lui d’être là. Il s’approche de nos deux compères avec un sourire au visage.


« Hay les copains ! Chantez avec moi ! »

L’homme idiot se retourne vers l’homme calculatrice et lui dit d’un air blasé :

« Va pas bientôt se la fermer celui-là ? J’vais m’énerver, bientôt ! J’vais le remettre à sa place là !
- NE ME PARLE PAS ! »

Et l’homme au visage fleurissant éclate l’un de ses boutons au visage de l’idiot.


« Je suis un prince moi ! Je suis un prince ! On ne … AAH MAIS C’EST IGNOBLE. CASSE VOS PIEDS MOI !
- De qu…. AAAH MAIS VOUS ETES UN GROS MALADE. POURQUOI VOUS M’AVEZ EXPLOSE LE PIED COMME ÇA ?
- Parce que, parce que j’ai envie. »

Et le prince s’enfuit, suivit de près par l’homme au pied cassé, claudiquant tant bien que mal derrière lui.

« Hey mes amis ! Y a un lapin en barbe à papa juste devant vous ! Oh c’est formidable ! Ça me rappelle une chanson mais alors génial ! Je veux d’abord le manger, je vous chante ça après.
- HEY VIEUX C*N. Je m’appelle Kiki, et PERSONNE ne mange Kiki. J’vais le dire à ma mère et tu en BLEUUAAAARGH. »

Et un arc-en-ciel sort de la minuscule bouche du minuscule lapin trop mignon.


« Je t’engage ! Je te promets des milliards mon ptit gars ! Tu seras la mascotte de ma prochaine tournée et j’écrirais une chanson en ta faveur ! Regarde : « Le petit lapin en barbapapa, qui s’élance et qui vomit l’arc-en-cieeel. »
- Mais ma maman va s’inquiéter. Puis ça fait combien en carottes, des milliards ? »

Mais le vieil homme s’est déjà désintéressé. Il observe monsieur Mouton avec un air vicieux.

« Le petit bonhomme en mousse… Qui s’élance et qui tombe du plongeoir… »

Qui aurait cru qu’on puisse chanter cette chanson comme on chanterait un slogan de pub bourrée de boobs incitant à appeler au 71212 passé minuit ? Eh bien Patrick l’a fait.

« Je … JE NE SAIS PAS SI JE SUIS MORT OU PAS. QUELQU’UN PEUT ME DIRE SI JE SUIS MORT ? OH MON DIEU CRISE DE PANIQUE CRISE DE PANIQUE. POURQUOI PERSONNE NE ME DIT SI JE SUIS MORT OU PAS ? ÇA FAIT BIENTOT 80 ANS QUE PERSONNE N’EST FOUTU DE ME LE DIRE. ET EN PLUS ON EST LUNDI. MA VIE EST NULLE, MA VIE EST NULLE. Ou c’est ma mort ? C’est ma mort qui est nulle ? Mais enfin répondez !  »

Et Schrödinger, le chat noir et blanc, repart comme il est venu. C’est ce qui s’appelle un passage éclair.

Patrick profite de ce moment d’ahurissement général pour grimper sur le dos de monsieur Mouton en embarquant Kiki sous son bras.

« Hue mouton ! Hue ! »

Et Haru regarde la scène, se demandant si Patrick aurait bien voulu boire un verre avec lui, parce que la barbe et les cheveux gris, c’est quand même un truc de beaux mecs qui ont la classe.

« Oooh, you touch my tralala. »

Notre Don Juan sursaute. Derrière lui, une moustache sexy, des lèvres pulpeuses et des lunettes de soleil des années… Des années d’il y a longtemps. Günther en personne, son idole absolue, sa star, son modèle, devant lui.  Haru ne peut s’empêcher de baver. Il a rêvé de ce moment depuis que Ding Dong Song est sorti, depuis qu’il a croisé le regard par écran interposé de ce symbole de virilité.

« I would love to touch your tralala »

Günther se lisse la moustache en réfléchissant. Après tout, avec une perruque blonde et de dos, il pourrait bien faire comme si.


« I will touch your tralala, man. »

Il y a fort longtemps , juste avant le règne de Vinou premier , le Pays des nains était dirigé par un dictateur vile et sadique du non de Gimli. Avec son armée d'humains mannequins de plus d'1m75 , il terrifiait la populace. Tous ceux qui avaient tenté de le l'arrêter , de le tuer ou même de l'approcher se faisaient écarteler ou jeté dans le fin fond d'une fosse. Mais un jour , un brave soldat alla à l'encontre du dirigeant avec la ferme attention de la vaincre avec son épée enchantée ! Le courage luisait dans ses yeux , il avait la bravoure , le charisme, tout !!! Mais il échoua lamentablement et fut , comme tous les autres , jeté dans une fosse. En faisant cela , Gimli croyait punir un homme comme les autres et qu'il n'y aurait pas de conséquences mais il se trompait. Il allait provoquer la colère de l'être le plus sanguinaire au monde : la femme. Mais pas n'importe quelle femme !!! Il allait déclencher la colère de la femme la plus influente du pays voisin au sien , la princesse Zelda , car il venait tout simplement de jeter Link dans une fosse , son cher et tendre époux !
Mais pour le moment , notre chère princesse n'était pas encore au courant de ce drame , en effet elle était en train de dormir dans son palais avec sa chère licorne , Smile, quand tout à coup  un cochon radioactif venant d'on ne sait ou brisa la fenêtre de sa chambre et s'écrasa sur le tapis ! Zelda se réveilla en sursaut et regarda la bête qui avait l'air assez .... morte. A la grande surprise de notre Héroïne , le cochon se releva tant bien que mal du tapis et sauta sur elle tout en criant « PRINCEEEESSSSSSEUH , C 'EST MAHMOUDEUUUUH LA VIE DE LINK EST EN DANGÉÉÉEEEUHH, IL A ETE EMPRISONNE PAS GIMLIIIIEUUUUH ». Avant que le cochon n'est pu lui touché ne serai-ce que le moindre cheveu , Zelda l'égorgea proprement  et devint rouge de colère « Cet imbécile de Link a fait QUOI ?! Tu vas voir ça , je vais allez le récupéré moi, IL Y EN A MARRE ». Elle jeta ensuite le cadavre de la bête sur le coté en disant à Smile qu'elle pouvait en faire se qu'elle voulait , parce qu'après tout ça faisait bien longtemps qu'elle n'avait pas pu voir ses amis ... Pendant que Smile s’occupait du cochon , la jeune princesse se prépara pour le sauvetage en prenant toutes les armes nécessaires : fusils , grenades , bazookas mais surtout les pokéballs ! Enfin prête , elle alla chercher Smile et partie à l'aventure. Elle traversa bravement son royaume sur un arc-en-ciel tout en chantant « PINK FLUFFY UNICONRS DANCING ON RAINBOOOOOOWS » accompagné de sa licorne quand elle arriva enfin à la douane menant vers le royaume malsain de Gimli. Zelda allait passer tranquillement quand deux gendarmes habillés de manière ridicule arrivèrent et s'écrièrent en coeur « NOUS SOMME DE RETOUR , !!! POUR VOUS JOUER UN MAUVAIS TOUR !!! AFIN DE DONNER DES AMENDES A TOUTE VOITURE MAL GARÉE ,POUR QUE L INCOMPÉTANCE RESTE INÉGALÉE , !!!! -Jean-Pierre !!! -Louise-Michelle !!! LA MARECHAUSSÉE TOUJOURS PAS ASSEZ PAYÉE , RENDEZ VOUS TOUS OU JAMAIS CE NE SERA  RÉGLÉ !!! »
« Haha Pikachu , on va enfin t'attraper ! »
« Ho oui , cette fois si on va pas te rater ! »
Les deux personnages , après avoir fait leur jolie chorégraphie  , sortirent des pokéballs de leurs poches.
Louise-Michelle attaqua la première :
MAGICARPE , GOOOO
Jean-Pierre se lança aussi :
PSYKOKWAK , GOOOO
Les deux pokémons menaçants allaient attaquer Zelda et sa licorne ( qui par ailleurs regardait les pokémons avec un sourire ... plutôt bizarre ) mais la princesse sortit sa propre pokéball !
Zelda passa à l'action :
PIKACHU , GOOOOOO
ATTAQUE TONERRE !
« PIIIII KAAAA CHUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUU »
Pikachu grilla littéralement les deux autres pokémons. Louise-Michelle et Jean-Pierre n'en revenaient pas .... Ils avaient encore perdues !!! Et en plus la fille devant eux avait l'air vraiment en colère ... Terrorisés , ils prirent la poudre d'escampette en moins de temps qu'il ne faut pour dire « poisson grillé » . Notre princesse rappela pikachu dans sa pokéball et continua son chemin d'arc-en-ciel , impassible.
Après trois longues heures de route , l’héroïne se retrouva enfin devant la palais du nain malsain. Sans même prendre la peine de toquer , elle défonça la porte d'entrée , pointa son bazooka devant elle et cria « HEY LE NAIN , TU VAS ME RENDRE MON MARI ILLICO PRESTO OU JE FAIS SAUTER TA BARAQUE DE LUXE »
Gimli arriva aussitôt (  sur le dos de 5 esclaves ... oui, il était un peu gros ) en entendant la menace , quand il vu que c'était la princesse du pays d'à coté , Il stoppa tout de suite la meute de chien qu'il avait envoyé pour chasser l’intrus puis il s'approcha d'elle doucement tout en se remettant les cheveux en place. Arrivé près d'elle il lui dit d'une voix qu'il croyait sensuelle ( mais qui ressemblait à peu près à celle de bob l'éponge ) « Alors ma belle , tu cherches à me voir ? »
Zelda , lacha son bazooka et lui dit « Hmpf ! Goujat ! » avant de l'envoyer à l'autre bout de la pièce par une baffe phénoménale.
« Mademoiselle , Ne vous abîmez pas les mains I've a solution pour you ! D'abord , Il faut calculer the angle of de future trajectoire de la victime ! Ensuite , Il faut calcule the cosinus par the formule fondamentale cos2alpha + sin2alpha =1 because vous aurez alors le moyen de see the distance of .... »
« Hein ? Mais qui parle ? Hey !!! Vous êtes ou ? » la princesse , ne voyait pas que son interlocuteur était par terre, et avant que celui-ci n'est pu lui crier qu'il n'était autre que l'incroyable poisson scientifique Robert , elle l'écrasa avec ses talons aiguilles.
« HOUHOUUUU , VOUS ETES OUUUU ?!!! Bon , c'était peut-être mon imagination  ... revenons à nos mouton .. HEY LE NAIN , IL EST OU MON MARI ? »
Gimli , en sang , lui répondit
« Dans .... dans ... la ... fosse ...... troisième porte à gauche »
Ainsi , Zelda retrouva link , le serra très fort dans ses bras avant de l'engueuler pour son insouciance et ils vécurent heureux et eurent plein de disputes.

FIN

( Quand aux esclaves de plus d'1m75 , ils furent tous libérés dans un premier temps mais furent ensuite dominé par Smile qui s'occupa d'eux avec beaucoup de .... gentillesse )

Il fut un jour pas comme les autres, un jour où la lumière jouissait d'une bonté inalliable. Et où les ténèbres d'un côté furent les sectateurs des tréfonds.

Ce jour, un jeune garçon du nom de Light Yagami fit apparition inopinément en s'accaparant d'un pouvoir, celui du Death note littéralement "cahier de la mort". Le propriétaire de ce dernier à en effet les capacités de tuer par crise cardiaque en écrivant minutieusement le nom de celui qui veut tuer. Il essaya d'écrire des noms de criminels malheureusement aucun d'eux ne mourra, comprenant que ce Death note n'a nul pouvoir, il décida donc de continuer ses études en larmoyant tous les soirs à son sort et continua à écrire non pas des criminels, mais "qui suis-je réellement". En continuant inéluctablement à écrire aux heures tardives. Un soir le président des états-unis apparaît en bas de sa fenêtre en criant "Yes We Can" mon pays est la fierté de mes ancêtres et ma grandeur indolore.

Le lendemain, il fit la rencontre d'un prénommer Drella d'un caractère quinaud qui était nouveau dans sa classe, quoique son perfectionnisme et son comportement maniaque eurent raison de leur rencontre lorsque Drella s'essaya à passer l'aspirateur sur Light. :

- Drella : Pleins de poussières enlevés grâce à toi Light "Ah je ris de me voir si maniaque avec mon aspi" !
- Light : Oh! évitons tout de même les présentations douteuses. Vois donc ailleurs si j'y suis.

C'est de par ces querelles qu'ils font la rencontre d'une certaine Daria Morgendorffer qui n'était autre qu'une adolescente bourrue, insociable et misanthrope qui trouvait la nature humaine exaspérante. Elle cria donc envers eux car elle déteste les propos vulgaires. D'ailleurs dans un ton qu'elle arborait fièrement : "Dans l'homme aimé, il arrive plus ordinairement qu'on ne s'est épris que de l'amour", "La haine ne mette jamais fin à la haine ; seul l'amour peut le guérir. C'est là l'ancienne et éternelle loi" Dit-elle en montrant inéluctablement à ses camarades qu'elle dispose d'une certaine érudition et une maîtrise de la langue et pas des moindres, de par ses cris imposants, elle eut une extinction de voix en continuant à communiquer avec eux par des gestes incompréhensibles que seul elle comprenait et sans qu'ils puissent la comprendre s'ensuivent quiproquos et malentendus qui se terminèrent forts heureusement aussitôt que la cloche sonna.

Quelques semaines après, une inconnue portant un unique soulier rouge placé aux rues étroites où marchaient la plupart des passants juste à côté du lycée où se trouvaient "Light et Drella". Elle mettait en exergue des paroles que personne ne comprenait, paroles d'une pauvreté inconsidérées. Tout d'un coup apparut une poupée du nom de "Chucky" armée d'un couteau voulant tuer cette inconnue mais échoua lamentablement en tombant sur de la boue d'une saleté rare. Choquée, elle continua à marcher nulle part ailleurs quand elle rencontra sur son périple une girafe naine du nom de Sophie tout à fait pacifiste elle émane le bonheur, l'amour autour d'elle en laissant de longues traînées de cœurs à son insu dans la route de cette inconnue qui suivait l'inespérance. Enfin, elle s'arrêta quelques instants en réfléchissant quelle serait sa véritable destination tant qu'elle pouvait y organiser une soirée costumée, une fois arriver au cimetière le plus proche grâce au simple hasard. Elle y trouva une pierre sacrée où il était écrit qu'au "Moyen Âge" : ceux qui prient : oratoires, ceux qui font la guerre : bellâtres , ceux qui travaillent : laboratoires.

Après être arrivée au cimetière et y avoir organisé cette fameuse soirée costumée, le jour-j des rumeurs circulaient comme quoi un homme cauteleux du nom de Toto le Mexicain aurait refait surface après une évanescence troublante pendant un temps indéterminé dû à ses innombrables actes mafieux comme la vente de came qui puis est délétère aussi appelée le chocolat aphrodisiaque de Montélimar, ce chocolat eut des effets dévastateurs aux plus grands, comme Syd Barrett . Les rumeurs coulaient à flots, arrivant jusqu'aux oreilles des policiers, il va sans dire qu'ils firent faire leur apparition en cette soirée qui se déroulait merveilleusement bien et l'arrêta dans le plus grand sarcasme. Les personnes ayant participé au plus grand bal costumé après l'arrestation de ce fameux leader de renommée trouvèrent les traces d'un certain Morsay ancien philosophe qui de son profond existentialisme philosophique avéré en créa un rap reconnu dans le monde entier.

Toutefois, des mois et des mois passèrent après cet incident.

Morsay semblait quelque peu labile et ne cessa à son insu d'évoquer ces théories sur le naturalisme à ses amis philosophes, par exemple, il disait très naturellement : ce que l’on comprend aujourd’hui de l’homme n’excède pas ce que l’on peut comprendre de lui en tant que machine. Ses amis toujours abasourdis par ses citations d'une grande transcendance ne cessent de le complimenter sur ses atouts majeurs et ses pensées similaires à celle de "Friedrich Nietzsche". Le rendant nostalgique, il s'en alla comme à ces habitudes faire quelques tours pour rafraîchir ses idées de textes/miscellanées à mettre en évidence quand un certain Casper d'une effronterie redoutée fit son apparition tout au long du chemin en le faisant trébucher, lui tirant les cheveux aussi rapidement que l'éclair. Morsay vulnéraire ce soir continua malgré tout son chemin tout en ne comprenant pas d'où un tel fantôme puisse paraître. Ces théories reviennent peu à peu.